La grèce et ses olives....

Trouble-fête.

Tu vois Angela la Grèce c'est par là,

derrière l'olivier qu'a plus une seule olive .....

Mais non Angela, pas l'Olivier qui garde la porte d'entrée!

Tu m'en fais dire des conneries!

(heureusement que Marigotine n'est pas là pour les retranscrire...)

Coucou Nicolas! et si je suis là et j'ai tout entendu...

Trouble-fête. Le programme du sommet du G20 avait été étudié et minuté… Mais la Grèce est venue tout chambouler. Et son premier ministre, Georges Papandréou, est devenu la triste vedette de ce sommet qui se tient à Cannes jeudi et vendredi. Car l’annonce, lundi, d’un référendum sur le plan d’aide à Athènes, bouclé il y a une semaine, a fait plonger les marchés et bondir les dirigeants de la zone euro. Mercredi, Paris et Berlin ont donc bouleversé leur agenda pour désamorcer cette bombe à retardement, avec un objectif : contraindre la Grèce à ne pas remettre en cause le plan de secours, ce qui anéantirait pour de bon la confiance des marchés et mettrait en péril toute la zone euro. " />Trouble-fête. Le programme du sommet du G20 avait été étudié et minuté… Mais la Grèce est venue tout chambouler. Et son premier ministre, Georges Papandréou, est devenu la triste vedette de ce sommet qui se tient à Cannes jeudi et vendredi. Car l’annonce, lundi, d’un référendum sur le plan d’aide à Athènes, bouclé il y a une semaine, a fait plonger les marchés et bondir les dirigeants de la zone euro. Mercredi, Paris et Berlin ont donc bouleversé leur agenda pour désamorcer cette bombe à retardement, avec un objectif : contraindre la Grèce à ne pas remettre en cause le plan de secours, ce qui anéantirait pour de bon la confiance des marchés et mettrait en péril toute la zone euro. " title="La grèce et ses olives...." />Trouble-fête. Le programme du sommet du G20 avait été étudié et minuté… Mais la Grèce est venue tout chambouler. Et son premier ministre, Georges Papandréou, est devenu la triste vedette de ce sommet qui se tient à Cannes jeudi et vendredi. Car l’annonce, lundi, d’un référendum sur le plan d’aide à Athènes, bouclé il y a une semaine, a fait plonger les marchés et bondir les dirigeants de la zone euro. Mercredi, Paris et Berlin ont donc bouleversé leur agenda pour désamorcer cette bombe à retardement, avec un objectif : contraindre la Grèce à ne pas remettre en cause le plan de secours, ce qui anéantirait pour de bon la confiance des marchés et mettrait en péril toute la zone euro. " border="0" />

. Le programme du sommet du G20 avait été étudié et minuté… Mais la Grèce est venue tout chambouler. Et son premier ministre, Georges Papandréou, est devenu la triste vedette de ce sommet qui se tient à Cannes jeudi et vendredi. Car l’annonce, lundi, d’un référendum sur le plan d’aide à Athènes, bouclé il y a une semaine, a fait plonger les marchés et bondir les dirigeants de la zone euro. Mercredi, Paris et Berlin ont donc bouleversé leur agenda pour désamorcer cette bombe à retardement, avec un objectif : contraindre la Grèce à ne pas remettre en cause le plan de secours, ce qui anéantirait pour de bon la confiance des marchés et mettrait en péril toute la zone euro. (Mousse-Orban/ABACA) Ultimatum.

Je l'ai trouvé Nicolas, ça y est , ça y est je le vois l'Olivier qu'a plus d'olives !
Mais non Angela, lui c'est Georges!
Tu vois il ferme la bouche car c'est lui qui les a bouffées les olives...
....Et surtout qui les a pas payées!

. Ultimatum. Entre le couple Merkel-Sarkozy, improvisé garant de la zone euro, et Georges Papandréou, surnommé «le roi du chaos» par la presse grecque, le dialogue de sourds s’est poursuivi mercredi soir, en prélude au G20, après une réunion d’urgence aux allures de véritable convocation. En attendant, les Grecs sont prévenus: «pas un centime» ne sera versé par l'union européenne et le FMI tant qu'Athènes ne respectera pas les règles établies le 27 octobre. Mais retournement ce jeudi: Georges Papandréou annonce être prêt à retirer son projet de référendum. «Même si nous n'allons pas à un référendum, qui n'a jamais été une fin en soi (...), je salue la position du parti de l'opposition de la droite», explique-t-il dans un communiqué de ses services. Il se dit prêt à ratifier au Parlement l'accord obtenu au sommet du 27 octobre. " />Ultimatum. Entre le couple Merkel-Sarkozy, improvisé garant de la zone euro, et Georges Papandréou, surnommé «le roi du chaos» par la presse grecque, le dialogue de sourds s’est poursuivi mercredi soir, en prélude au G20, après une réunion d’urgence aux allures de véritable convocation. En attendant, les Grecs sont prévenus: «pas un centime» ne sera versé par l'union européenne et le FMI tant qu'Athènes ne respectera pas les règles établies le 27 octobre. Mais retournement ce jeudi: Georges Papandréou annonce être prêt à retirer son projet de référendum. «Même si nous n'allons pas à un référendum, qui n'a jamais été une fin en soi (...), je salue la position du parti de l'opposition de la droite», explique-t-il dans un communiqué de ses services. Il se dit prêt à ratifier au Parlement l'accord obtenu au sommet du 27 octobre. " title="La grèce et ses olives...." />Ultimatum. Entre le couple Merkel-Sarkozy, improvisé garant de la zone euro, et Georges Papandréou, surnommé «le roi du chaos» par la presse grecque, le dialogue de sourds s’est poursuivi mercredi soir, en prélude au G20, après une réunion d’urgence aux allures de véritable convocation. En attendant, les Grecs sont prévenus: «pas un centime» ne sera versé par l'union européenne et le FMI tant qu'Athènes ne respectera pas les règles établies le 27 octobre. Mais retournement ce jeudi: Georges Papandréou annonce être prêt à retirer son projet de référendum. «Même si nous n'allons pas à un référendum, qui n'a jamais été une fin en soi (...), je salue la position du parti de l'opposition de la droite», explique-t-il dans un communiqué de ses services. Il se dit prêt à ratifier au Parlement l'accord obtenu au sommet du 27 octobre. " border="0" /> Entre le couple Merkel-Sarkozy, improvisé garant de la zone euro, et Georges Papandréou, surnommé «le roi du chaos» par la presse grecque, le dialogue de sourds s’est poursuivi mercredi soir, en prélude au G20, après une réunion d’urgence aux allures de véritable convocation. En attendant, les Grecs sont prévenus: «pas un centime» ne sera versé par l'union européenne et le FMI tant qu'Athènes ne respectera pas les règles établies le 27 octobre. Mais retournement ce jeudi: Georges Papandréou annonce être prêt à retirer son projet de référendum. «Même si nous n'allons pas à un référendum, qui n'a jamais été une fin en soi (...), je salue la position du parti de l'opposition de la droite», explique-t-il dans un communiqué de ses services. Il se dit prêt à ratifier au Parlement l'accord obtenu au sommet du 27 octobre. (Lionel Bonaventure/AFP) En colère. Il n'y a pas que l'eau qui monte... En colère. Mercredi, alors que des Thaïlandais sont secourus à l’aide de moyens rudimentaires, l’eau n’est plus la seule à monter dans les quartiers de Bangkok, la tension est aussi à son comble. Depuis quelques jours, des centaines de personnes dont les habitations sont inondées ont réclamé une évacuation plus rapide de l'eau, en tentant de forcer l’ouverture d'une écluse dans le quartier de Klong Sam Wa, dans le nord-est de la mégalopole et en accusant les autorités de les sacrifier pour protéger le centre de la capitale toujours au sec. Les inondations ont commencé fin juillet ont fait 381 morts et touché plus d'un tiers des provinces du pays, détruisant des millions d'hectares de cultures et entraînant la fermeture de milliers d'entreprises. " />En colère. Mercredi, alors que des Thaïlandais sont secourus à l’aide de moyens rudimentaires, l’eau n’est plus la seule à monter dans les quartiers de Bangkok, la tension est aussi à son comble. Depuis quelques jours, des centaines de personnes dont les habitations sont inondées ont réclamé une évacuation plus rapide de l'eau, en tentant de forcer l’ouverture d'une écluse dans le quartier de Klong Sam Wa, dans le nord-est de la mégalopole et en accusant les autorités de les sacrifier pour protéger le centre de la capitale toujours au sec. Les inondations ont commencé fin juillet ont fait 381 morts et touché plus d'un tiers des provinces du pays, détruisant des millions d'hectares de cultures et entraînant la fermeture de milliers d'entreprises. " title="La grèce et ses olives...." />En colère. Mercredi, alors que des Thaïlandais sont secourus à l’aide de moyens rudimentaires, l’eau n’est plus la seule à monter dans les quartiers de Bangkok, la tension est aussi à son comble. Depuis quelques jours, des centaines de personnes dont les habitations sont inondées ont réclamé une évacuation plus rapide de l'eau, en tentant de forcer l’ouverture d'une écluse dans le quartier de Klong Sam Wa, dans le nord-est de la mégalopole et en accusant les autorités de les sacrifier pour protéger le centre de la capitale toujours au sec. Les inondations ont commencé fin juillet ont fait 381 morts et touché plus d'un tiers des provinces du pays, détruisant des millions d'hectares de cultures et entraînant la fermeture de milliers d'entreprises. " border="0" /> Mercredi, alors que des Thaïlandais sont secourus à l’aide de moyens rudimentaires, l’eau n’est plus la seule à monter dans les quartiers de Bangkok, la tension est aussi à son comble. Depuis quelques jours, des centaines de personnes dont les habitations sont inondées ont réclamé une évacuation plus rapide de l'eau, en tentant de forcer l’ouverture d'une écluse dans le quartier de Klong Sam Wa, dans le nord-est de la mégalopole et en accusant les autorités de les sacrifier pour protéger le centre de la capitale toujours au sec. Les inondations ont commencé fin juillet ont fait 381 morts et touché plus d'un tiers des provinces du pays, détruisant des millions d'hectares de cultures et entraînant la fermeture de milliers d'entreprises. (EPA/MAXPPP) Ville flottante. Sans la gravité de la situation, on pourrait presque trouver cette photo très belle. Ville flottante. Le centre de Bangkok semble avoir, pour l'instant, échappé à la menace des pires inondations subies par la Thaïlande en un demi-siècle. Ces crues, provoquées par des pluies de mousson exceptionnelles, ont fait près de 400 morts depuis juillet et affecté la vie de plus de deux millions de Thaïlandais. L'eau devrait désormais refluer et le beau temps s'installer sur la métropole de douze millions d'habitants. " />Ville flottante. Le centre de Bangkok semble avoir, pour l'instant, échappé à la menace des pires inondations subies par la Thaïlande en un demi-siècle. Ces crues, provoquées par des pluies de mousson exceptionnelles, ont fait près de 400 morts depuis juillet et affecté la vie de plus de deux millions de Thaïlandais. L'eau devrait désormais refluer et le beau temps s'installer sur la métropole de douze millions d'habitants. " title="La grèce et ses olives...." />Ville flottante. Le centre de Bangkok semble avoir, pour l'instant, échappé à la menace des pires inondations subies par la Thaïlande en un demi-siècle. Ces crues, provoquées par des pluies de mousson exceptionnelles, ont fait près de 400 morts depuis juillet et affecté la vie de plus de deux millions de Thaïlandais. L'eau devrait désormais refluer et le beau temps s'installer sur la métropole de douze millions d'habitants. " border="0" /> Ville flottante. Le centre de Bangkok semble avoir, pour l'instant, échappé à la menace des pires inondations subies par la Thaïlande en un demi-siècle. Ces crues, provoquées par des pluies de mousson exceptionnelles, ont fait près de 400 morts depuis juillet et affecté la vie de plus de deux millions de Thaïlandais. L'eau devrait désormais refluer et le beau temps s'installer sur la métropole de douze millions d'habitants. (Nicolas Asfouri/AFP) Défilé. Et nous pendant c'temps là on reste au garde à vous.... Défilé. Cette nouvelle recrue se tient en rang pour cette cérémonie aux allures d’investiture. Au total, mardi, 2127 soldats ont rejoint la police militaire de Sao Paulo, au Brésil. Ces forces préventives sont chargées du maintien de l'ordre public au sein des États et font partie de la sécurité publique et sociale du pays. Elles font également partie du système national de défense, comme troupes de réserve et forces auxiliaires de l’armée de terre. " />Défilé. Cette nouvelle recrue se tient en rang pour cette cérémonie aux allures d’investiture. Au total, mardi, 2127 soldats ont rejoint la police militaire de Sao Paulo, au Brésil. Ces forces préventives sont chargées du maintien de l'ordre public au sein des États et font partie de la sécurité publique et sociale du pays. Elles font également partie du système national de défense, comme troupes de réserve et forces auxiliaires de l’armée de terre. " title="La grèce et ses olives...." />Défilé. Cette nouvelle recrue se tient en rang pour cette cérémonie aux allures d’investiture. Au total, mardi, 2127 soldats ont rejoint la police militaire de Sao Paulo, au Brésil. Ces forces préventives sont chargées du maintien de l'ordre public au sein des États et font partie de la sécurité publique et sociale du pays. Elles font également partie du système national de défense, comme troupes de réserve et forces auxiliaires de l’armée de terre. " border="0" /> Cette nouvelle recrue se tient en rang pour cette cérémonie aux allures d’investiture. Au total, mardi, 2127 soldats ont rejoint la police militaire de Sao Paulo, au Brésil. Ces forces préventives sont chargées du maintien de l'ordre public au sein des États et font partie de la sécurité publique et sociale du pays. Elles font également partie du système national de défense, comme troupes de réserve et forces auxiliaires de l’armée de terre. (Werther Santana/AFP)