J’en doute. Il me semble que la Chine connaissait, lorsqu’elle nous a rencontrés, une de ses périodiques phases de déclin. Effectivement, l’Occident (en particulier l’Angleterre) a joué les parasites, la vidant de sa substance, et empêchant la mise en mouvement de ses habituels mécanismes de reconstruction. Mais, la Chine pouvait elle ignorer un monde qui l’avait prise de vitesse ? Le changement était inévitable.
Compléments :
- Origine de ces idées : GERNET, Jacques, Le monde chinois, Armand Colin, 4ème édition, 1999.