Du degré le plus élevé des exigences, au primat de toutes les adversités et prises de positions, vouées à rehausser l’existence collective, solder le parcours discursif de cette vaste littérature politique imaginée, concoctée, consacrée et supposée sou tendant le parfaire ou la réalisation des objectifs majeurs de développement, d’une adéquation subtilement imagée entre le vouloir et le disponible, on ne peut s’enivrer, sous la gestation des prémisses d’une forme de dirigisme primo définie acquise à la conscience des nantis des préceptes prévalant à la mise en place d’un cadre conceptuel favorable à l’épanouissement à la fois intellectuelle, morale et économique, mais aussi et surtout à la pleine jouissance à l’égard des droits et libertés, en sachant de surcroît, que la plate forme des revendications de tout temps observée et esquissée, va d’un panel échéancé à vue, à une hiérarchie fondée sur la prédominance des procédés, des méthodes, des gesticulations de l’histoire entachées de graves distanciations du souhait à l’advenant.
Ainsi, bien qu’il soit désagréable, soudoyé intellectuellement et mal pourvue en ressource morale, d’ en référer au contexte socio politique actuel, en ces aspects les plus déprimants, les plus rétrogrades, les plus figuratifs de l’arbre de la désolation, de la discorde, et de la fuite des valeurs sures vers d’autres cieux, y compris l’emprise de cette dichotomie du légitime et de l’illégitime, axée sur une sale rengaine qui n’a pas encore finie d’inscrire son scripte au panthéon de l’histoire de la nation, éminemment revigoré(le contexte socio politique) par les non dits, qui vont finalement jusqu’à faire voler en éclat et en miette le pacte de la dissuasion collective, consistant à s’honorer de la seule vertu, de sauver ce qui reste des meubles de la patrie de la désuétude, de la morosité et de la récrimination successive des entraves à l’évolution, il nous est, nous ethnie supposée minoritaire, impossible, sinon improbable de croire à une gestion unie et unifiée de la patrie, avec pour devise, la croyance illico dare dare, si ce n’est illico presto, aux principes édictés par le droit et la démocratie, et soumis à la seule et unique appréciation de la compétence, du savoir faire technique et de l’aptitude à faire germer un projet de société portant sur des idées qui feront carillonner le pays et lui faire renouer avec son désir d’hégémonie d’antan, clairement affichée à l’origine de sa politique d’expansion, (désir d’hégémonie) pérennisé par les régimes qui se sont succédés au perchoir et tenter avec une maladresse incongrue, une incompétence criante et notoire, une divagation spontanée, un sectarisme avoué et une propension naturellement scalpée de ne point booster le devenir collectif hors des vestiges, qui l’ont tripatouillés à tel enseigne, qu’une fuite en avant prend le dessus sur le sentiment patriotique, qui nous a pourtant et de tout temps, focalisé sur la résolution des aspects techniques, détournant ainsi notre vue, des problèmes cruciaux, existentiels vu qu’on en est au summum de toutes les craintes et brisures imaginables lorsque les opinions et les aptitudes exposent une minorité à toutes les envies.
Par ailleurs, la position actuelle de Sidya Touré sur l’échiquier politique Guinéen, nous donne la primeur et les signes avant coureurs, de la mentalité qui prévaut, bien qu’on ait appris à la connaître, à force d’en ausculter le tenants, en abreuver les tenanciers et consacrée une large vue, à une discontinuité non rétriburtive de valeurs à la pratique politique, que l’ont veut (la pratique politique) tirer des méandres du postulat de la dénégation, de l’impromptitude, de la manie qu’on accole injustement à la jonction des valeurs et finalement, une guerre qu’on ose s’avouer mais à laquelle on se livre et s’évertue, sous l’emprise de l’orgueil suffocant qui empêche la Guinée de connaître la grandeur, le rayonnement et l’entame d’une véritable révolution, une révolution qui se nomme mutation qualitative et quantitative.
En cela, force de principes et convictions pérennes nous exhortent à revoir le profil exigé, pour que plus jamais, nous ne nous souvenions des affres méthodiques de ce système macabre à la solde de l’ignominie et à la merci de la déchéance, tout en gardant à l’idée, que la marge des ascensions, ne requiert et ne requerra, que la capacité à pouvoir incarner le changement dans ce qu’il a de plus probant.
La vérité étant ce qu’elle est, depuis mon départ de la Guinée, je n’ai jamais milité pour l’UFR, il n’empêche que je me sens tôt ou tard visé ou concerné par ces faits ainsi décriptés
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