J'aurais pu vous parler de ce mardi soir 1er novembre au Tansbordeur.
J'aurais pu vous parler de la seconde venue à Lyon d'Agnés Obel .
J'aurais pu vous parler de ce belge à l'humour trés anglais -Daan- qui assura la premiére partie.
J'aurais pu vous parler de ses chansons comme Victory, Exes ou encore d'une chanson qu'il aurait pu écrire s'il n'avait eu autre chose à faire - Policy of Truth ( reprise sublime de Dépèche Mode)-...
J'aurais pu vous parler de cette interminable attente (la migraine venait de s'inviter) avant l'arrivée de cette délicate chanteuse danoise que je n'avais pu voir, cet été, aux Nuits de Fourviére. J'aurais pu vous parler du silence quasi religieux qui régna dans la salle dés qu'Agnés Obel, accompagnée de la violoncelliste Anna Müller, entamma Fallign Catching. J'aurais pu vous parler des désagrements techniques qu'à rencontrer l'artiste (probléme de clavier, de réglage de micro...) et auxquels elle fit face avec humour. J'aurais pu vous parler de la harpiste qui fit son entrée sur scéne pour la troisiéme chanson J'aurais pu vous parler de cet instant extatique dans lequel la salle fut plongée lorsqu'elle interpréta Philharmonics. J'aurais pu vous parler de Close watch (chanson de John Cale, programmé samedi 5 novembre à l'Epicerie Moderne). J'aurais pu vous parler la reprise d'un titre Elliot Smith (d'ailleurs j'ai oublié le nom). J'aurais pu vous parler des deux rappels.
J'aurais pu vous parler comment je fut rentrée la tête pleine de Beau.
J'aurais pu.
crédit photo : myspace officiel d'Agnés Obel