Le monarque socialiste grec ( trois générations de premiers ministres) a oublié qu'il avait un peuple et que ce dernier n'en peut plus.
La situation économique catastrophique de la grèce est elle due à à l'incivilité fiscale des grecs comme on nous le dit ou bien à l'incurie et au copinage d'une administration socialiste installée depuis des décennies avec son clanisme et ses compromissions?
Toujours est il que Papendréou, en ce début novembre, se trouve acculé à un choix simple: ou refonner enfin la parole à son peuple ou subir un coup d'état miltaire. Ce dernier risque est bien réel puisque le premier ministre vient de licencier ses chefs d'état major et les principaux officiers supérieurs et quand au premier choix il est évident, c'est de toute urgence donner la parole aux urnes pour tenter d'éviter de la laisser à la rue, c'est à dire à une révolution forcément sanglante, incontrolable et qui ramènerai à la deuxième solution ... un nouveau régime de "colonels".
Puissent les français, dans quelques mois, au moment de mettre le bulletin dans l'urne, se souvenir du peuple grec !