Des rapports de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, Irsn, la surexposition aux radiations de 145 patients au CHU de Toulouse en 2006 et 2007 les imputent à une erreur d’étalonnage intervenue lors de la mise en service de l’accélérateur, par contre la sur irradiation ne peut pas, selon ces rapports, être mise en cause pour les 18 décès survenus jusqu’ici.
Par ailleurs,, l’Inspection générale des Affaires sociales, l’Igas et l’Autorité de Sûreté nucléaire l’ASN , mandatées par le ministère de la Santé pour enquêter sur les causes de l’accident, notent ans leurs rapport une série de manquements de la part de l’Hôpital de Toulouse–Rangueil.
Le directeur général du CHU a reconnu la responsabilité de son établissement, cependant l’entière connaissance de l’impacte sanitaire de cet accident ne pouvant être appréhendé, selon l’Isrn que d’ici 2011-2012 , il a proposé 5 000 euros à 31 patients alors qu 11 autres devront rester sous surveillance médicale.