L’Occidental, en gendarme illégal du monde, en se comportant à travers la terre entière, surtout en Afrique, comme des éléphants dans un magasin de porcelaine. Il sème la mort tout en s’arrogeant un droit non écrit donc forcément hors-la-loi. Il lance des cris d’orfraie mensongers, pour sévir. Cette sempiternelle et immémorielle barbarie, activité criminelle accompagnée de mythomanie abyssale, inique et désormais contestée.
La méthode idoine pour lui, c’est donc la force brute, avec sa cohorte de morts, notamment en Libye. Le terrain de jeu idéal du diable est toujours dans la politique et par conséquent, je parle de l’homme blanc politicien, et non des autres. Les incantations, les déclamations aussi absurdes que pathétiques du respect de la paix, des droits de l’homme, de la liberté et tutti quanti ne marchent que dans un seul sens. L’Afrique ne veut plus de ça. L’heure est venue à sa réhabilitation, à la prise de conscience des ses possibilités et de ses valeurs.
La cyclothymie sociétale occidentale ne saurait être guérie par des guerres de prédation contre l’Afrique sous des prétextes fallacieux. Nul ne peut s’arroger le droit d’attaquer un pays souverain, encore moins d’initier l’assassinat de son dirigeant, pire, imposer un changement de régime. Plus jamais ça !