Le Nouvel Economiste, un journal très sérieux qui décrypte l’actualité politique, économique et sociale, a cité Editoile le 20 octobre 2011 dans un article sur l’utilisation des réseaux sociaux pour promouvoir les événements.
La journaliste Anne Cagan a interviewé Maud Bousquet, chef de projet webmarketing à Editoile. Spécialiste de l’événementiel 2.0, Maud a animé notamment les pages Facebook et Twitter du Salon de l’Entreprise Aquitaine 2011, le plus grand salon de l’entrepreneuriat régional. Actuellement, elle pilote les comptes sociaux de Metro’num, la rencontre des services numériques urbains qui aura lieu à Bordeaux les 8 et 9 décembre 2011.
Maud venait justement de publier sur le blog Editoile un article sur ce même thème, « 10 conseils pour promouvoir un événement sur les réseaux sociaux » (27 septembre 2011). Article qui n’est donc pas passé inaperçu de la journaliste !
Extraits de l’article « Evénementiel : la promotion via les réseaux sociaux »
« La fièvre 2.0 a gagné l’industrie de l’événementiel. Des soirées de lancement de produits grand public aux réceptions ultrachics, rien ou presque ne se fait sans passer par les réseaux sociaux. Visibilité et interactivité accrues, élargissement des bases de données, leurs avantages sont multiples. Mais gare à l’effet boomerang : la clientèle numérique est exigeante et susceptible (…).
“Pour certaines cibles – jeunes, technophiles –, les réseaux sociaux sont désormais le média numéro un” souligne Maud Bousquet, chef de projet webmarketing de l’agence Editoile. Même les moins connectés apprécient une certaine dose d’interactivité (…).
Pour faire grandir une base d’inscrits, il faudra également donner de la valeur ajoutée à son profil en publiant des contenus exclusifs. “Nous avons prévu de donner les résultats de l’appel à projet de l’événement Metro’num-La ville numérique en avant-première sur Facebook. Cela devrait plaire à nos fans et sans doute aussi nous en faire gagner”, se réjouit Maud Bousquet (…). S’ils constituent un outil de recrutement performant, les réseaux sociaux ont bien d’autres utilités susceptibles d’intéresser les organisateurs de tous types d’événements, y compris les plus privés. »
Lire l’article du Nouvel Economiste en entier (20 octobre 2011).