How to Make it in America // Saison 2. Episode 5. Mofongo.
Depuis le début de la saison How to Make it in America ne fait aucun faux pas, il fallait bien que ça arrive un jour. Mais bon, ce n'est pas non plus comme si c'était catastrophique car les
personnages sont égaux à eux même. Et j'adore ça. Personnellement, j'adore l'évolution de Ben, et notamment la scène finale qui tend à prouver que le personnage va vers quelque chose de bien
différent, et qu'il n'attends plus Rachel pour être heureux. En tout cas, c'est le goût que cet épisode me laisse. Alors que sa marque de vêtements est toujours en lisse pour devenir une marque
chic des beaux quartiers - et enfin pouvoir concurrencer Neandertal dont on va avoir quelques secondes pour découvrir une fête, assez crash sur les bords -. La série nous propose donc de nouveau
de nous intéresser à la marque de Ben et Cam. Pour le meilleur puisque j'ai trouvé que les personnages offraient une fois de plus une dynamique intéressante, sans que cela connecte avec les deux
jeunes blondes. Dommage.
Car ces 2 blondes n'avaient rien de bien passionnant. Bien au contraire, je les ai trouvées pas drôles et irritantes. Pendant ce temps Rene doit parler à la fille de sa fiancée. En effet, cette
dernière est lesbienne et ne compte pas changer d'avis à ce niveau là. Mis à part le message à la Born this Way que la série veut faire passer avec peu de délicatesse - ce qui est dommage mais je
suis persuadé que l'homosexualité n'est pas un terrain pour How to make it in America non plus -, l'ensemble sonne faux. La scène dans la voiture était ridicule, notamment sur le faite que la
jeune fille est une rebelle qui fume et qui fait NA comme une pétasse de lycée bourgeois. Sérieusement ? J'ai trouvé l'inspiration dénuée de sens. Une fois de plus cette saison Rene se retrouve
au milieu d'une intrigue pas intéressante, et pas passionnante. J'espère qu'on va vite retrouver Rasta Monsta et le business qu'il y a derrière.
Note : 5/10. En bref, un épisode passable de la série où la dynamique est un peu absente, un épisode tempérant la moitié de la saison, effet de transition.