Getaria, 29 octobre 2011
Adriana,
Rien ne finit jamais,
Il n’est de cendres qui ne portent
Quelques fractions de l’univers…
Rien ne finit jamais,
Tout est éternité des âmes,
Nos sentiments qui se survivent.
Éternité liquide et mouvance du temps,
Caresses salées des embruns qui déposent
Sur nos lèvres le goût de nos larmes.
Rien ne finit jamais,
Le chant des vagues désormais
Portera le son de ta voix.
Vogue Adriana, va, viens,
Redeviens matrice,
Éternelle déesse auréolée d’écume.
Los desgranados, los muertos de rostro tierno,
Los que amamos, los que brillan
En el firmamento, en la multitud del silencio,
Hicieron…