Etant donné l'ampleur du nombre des victimes, le recteur de l'université et des parents d'élèves se sont unis pour protester contre cette vague de violence mortelle. Mais ce pays d'amérique centrale a fait de la mort une seconde nature. Il faut savoir que, tous les 72 minutes, un hondurien meurt à cause de violences portées contre lui. Autant dire qu'il est fortement déconseillé aux voyageurs français de se rendre dans ce pays...
René Lanouille