A la tête du Nouveau Centre, Hervé Morin avait un joli challenge puisqu'il s'agissait pas moins que de concurrencer le Modem. Après les élections locales de mars 2008, le Nouveau Centre sera en crise car les arbitrages locaux ont souvent été effectués sans aucune rationalité mais bien davantage cette "coquille politique" est souvent devenue le refuge de marginaux politiques d'abord en chasse de "règlements de comptes" purement personnels, ajoutant ainsi aux difficultés nationales déjà fortes. Sur le plan du Ministère, le flottement semble généralisé et seule la culture de "la grande muette" limite les confidences extérieures. Tous ces facteurs expliquent qu'Hervé Morin est donc maintenant donné comme partant sûr dans le prochain remaniement.
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