Pour le technicien, l’important est de replacé le jeu au centre des formations du footballeur dès son plus jeune âge : « Le jeu, c’est la priorité. Un mot ressort tout le temps, c’est le plaisir. Il faut des pédagogies ouvertes, moins autoritaires. Quand vous vous tapez des tours de terrain avec un entraîneur qui hurle, ça ne passe pas » explique François Blacquart dans les colonnes de l’Equipe.
« J’aime voir les sélections joueuses avec une liberté de jeu. Aujourd’hui, Lorient est un très bon exemple. Il y a aussi Lille et Lyon. D’autres essaient de le faire. Pendant des années, on a organisé les équipes sur une base défensive. Mais où est le plaisir ? Si le jeu était plus libre, les joueurs se construiraient dans cet esprit-là. La notion de plaisir comme de spectacle, est capitale. On a un gros travail à effectuer pour le faire passer aux entraîneurs de jeunes » a-t-il ajouté.
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