Le mépris et le manque de jugeote montrés par la pharma bâloise dans son opération de fermeture annoncée à Nyon sont au centre de la doctrine libérale.
Le credo du centre patronal et de ses affidés. Leur cœur de cible dogmatique.
Sauf que ce faisant, Novartis parvient à irriter et heurter des sensibilités ordinairement de centre droit, voire même de droite.
Et à rallier à la cause du PS, qui milite pour une forme d’interdiction administrative de licenciements, nombre de déçus du PLR et même de l’UDC.
Au fond, sauf pour les ouvriers et travailleurs de Nyon, l’opération Novartis est une terrible maladresse qui sert avant tout la gauche.