O mon père, ces sont nos pères
Dont les doux chants des survivants
Bercent l’air d’atmosphère d’antan
Dans les flots d’espoir noir des vers.
Un arbre de tendresse, pousse
Cette vague bleue sur la mer,
Comme les voiles des étoiles
Suivent les points de nos mousses.
La reine pleure la baleine
Au royaume, sans réfléchir,
Comme tes hélices, sereines,
Tourbillonnent ses doux souvenirs
Par la fenêtre de ton être
Je vois bien ma chère enfance,
Et ton bateau apparaître
Dans cette forêt intense.
Montée Marie France
Recueil : « A la recherche du Père absent »
Octobre 2011