Les internautes sont invités à tester leurs connaissances sur le site de la Fédération, et trouver ainsi leur profil type en répondant à un questionnaire santé. Des conseils de prévention personnalisés vont leur permettre d'adopter les bonnes pratiques pour leur cœur.
La sexualité fait partie de la qualité de vie mais, après une maladie cardiaque, la vie sexuelle est affectée par la maladie pour près d'un patient sur 2, juste après ses (autres) capacités physiques. Il faut donc pouvoir aussi en parler avec son médecin.
L'échange entre le médecin et le patient au cœur de la stratégie de prévention: Une campagne est donc lancée pour sensibiliser encore plus les médecins généralistes aux maladies cardiovasculaires, bien que déjà particulièrement vigilants sur la maladie (98%) et inquiets pour une majorité sur la progression de ces maladies. En parler, en parler encore plus, c'est que suggère la FFC alors que les médecins privilégient en grande majorité la discussion (72%), avant la prescription d'examens biologiques (27%). Un constat encore plus vrai chez les médecins les plus jeunes (76% des moins de 45 ans).
3 facteurs de risque à bien surveiller:
- le tabac (cité comme facteur à prendre en considération par 57% des médecins généralistes)
- le diabète cité par 39% d'entre eux,
- et l'hypertension artérielle,mentionnée par 34% d'entre eux.
Sans oublier le cholestérol, le surpoids et l'obésité et les mauvaises habitudes alimentaires.
En bref et au-delà de la communauté médicale, chacun d'entre nous, homme et femme, doit rester acteur de sa propre santé.