Quel plaisir, quelle écriture fluide et dynamique il a cet auteur. Oui, je suis fan depuis mon premier: De fièvre et de sang . Puis j'avais enchaîné sur L'enfant des cimetières pour vérifier :)) Et maintenant, avec Le jeu de l'ombre je confirme mon addiction au commandant Alexandre Vauvert de la brigade criminelle de Toulouse, à Sire Cédric et à ses histoires complètement terrifiantes. On nage encore une fois en plein fantastique, c'est complètement surréaliste, mais amené de façon tellement réelle que c'est plus que crédible. Le tout mené à un train d'enfer, un vrai page-turner. J'adore !Bon la vraie chronique, celle qu'il faut lire c'est celle de Phooka ICI , moi je rajoute juste mon grain de sel. Et surtout dire mon admiration pour cet auteur. Dire également que le prochain ne restera pas dans ma PAL aussi longtemps. Quand je pense que j'avais cette pépite à portée de main depuis plus de six mois, quelle quiche !Je voulais dire aussi que cette immersion dans le sud-ouest de la France, Toulouse, sa place du capitole, Carcassonne et ses remparts, fait du bien. Il donne un air de vacances, un livre où on entend l'accent chantant de là-bas, même si Sire Cédric ne ponctue pas tous ses dialogues du fameux "putain con !", je les entendais quand même ! :))Comme dit Phooka : A LIRE ABSOLUMENTPS : et zou, dans nos coups de coeur (même s'il y en a déjà 2, mais chut, faut pas le dire à la chef... )
Editions Le Pré aux Clercs472 pages19 euros
Résumé :
Mais que pouvait bien chercher Malko Swann cette nuit-là ? Une overdose d'adrénaline, la sensation ultime, le sentiment de liberté ?Pourquoi roulait-il aussi vite en pleine nuit sur une route de campagne étroite et sinueuse jusqu'à faire une chute de trente mètres en bas du pont du Diable ?Atteint d'un traumatisme inexplicable, le musicien est désormais incapable d'entendre la musique. Mais il ne s'agit que du début de sa déchéance. Dans l'ombre, quelqu'un l'observe... quelqu'un qui veut jouer avec lui. Un jeu au goût de sang... Il s'engage alors dans un combat désespéré.
L'avis de Dup :
Voilà un livre que je peux dire avoir lu d'une traite ! Et oui, puisque c'est lui qui m'a accompagné lors de mon marathon de lecture, le read-a-thon du dimanche 23 octobre. Démarré à 10 heure tapante et je ne l'ai reposé qu'une fois fini, soit un peu avant 21 heure.Et je peux vous dire que j'avais fait le bon choix, pas une seule seconde ne m'a effleuré l'idée de le poser et d'alterner avec un autre livre comme on me l'avait beaucoup conseillé.