Les pôvres flics genevois sont une nouvelle fois en émoi: l’un des leurs s’est fait mordre dans le gras lors d’une interpellation musclée.
Les petits flics ne supportent en effet plus qu’on attente ainsi à leur prestige et à l’intelligence manifeste qu’ils démontrent dans l’exercice du pouvoir qui leur est confié.
Au lieu de pleurnicher, ils feraient mieux de se demander pourquoi ils ne sont plus capables, par leur simple présence, d’imposer le respect.
On ne peut le faire qu’en respectant l’autre, or ils ne le font pas.
Mordons les donc jusqu’à ce qu’ils comprennent.