Bored to Death // Saison 3. Episode 3. The Black Clock of Time.
Clairement cette saison le ton de la série a beaucoup changé. Mais je dirais pas en mal car finalement ce n'est qu'une bonne évolution qui se dessine sous nos yeux. Jonathan évolue dans une
direction toujours inattendue mais surtout, son livre est un succès. Il doit en effet participer à Dick Cavett, un talk show très connu afin de présenter son nouveau livre. Il va découvrir que
c'est son nemesis qui est derrière : Louis Green. Cela donne donc lieu à plusieurs bons moments et des situations très cocasses. Bored to Death est passée dans l'art de faire des bonnes scènes
comique de situation. En tout cas, je les trouve efficace. Et c'est gros pour une série à mon sens. Bored to Death n'en abandonne pas tout son côté bromance, bien au contraire, tout est toujours
aussi présent. Et c'est une qualité que j'apprécie.
Ce serait notamment Ray qui va se retrouver avec son fils dans un parc avec des femmes nourrissant au sein - et lui étant le seul à ne pas pouvoir le faire -. Forcément la situation prête à
plusieurs quiproquos mais aussi à de bons dialogues bien fournis. On va même proposer une réflexion sur le fait qu'un jour les hommes pourront aussi nourrir au téton. L'efficace même de toutes
les scènes de Ray dans cet épisode sont sûrement originaires de Zach Galifinakis lui même qui incarne tellement bien son personnage. Je reste assez suspendu à la scène de découverte de la BD de
Ray par ces jeunes mamans qui voient maintenant en Ray un pervers sexuel qui ne pense qu'aux pénis super-héros. J'ai bien ri. Enfin George est toujours à s'afférer pour que sa fille arrête de
sortir avec son vieux d'homme. Forcément George ne sait pas comment s'y prendre, et se perd dans ses pensées.
Note : 7/10. En bref, Bored to Death reste ce petit plaisir amical. Très bon.