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Rien n'a filtré dans la presse de l'événement à caractère privé. On a donc lancé nos limiers sur la piste.
49 cm, 2,9 kg.
C'est sa grand-mère Marisa qui est venue lui rendre visite en premier. Traduisez : il y en a un qui s'est fait attendre.
Le point sur les cadeaux : - le petit ours d'Angela Merkel, - un panier d'orchidées blanches (Mohamed VI). Plurielles fait remarquer qu'on n'est pas passé loin des lys...- une robe à smocks Dior (Bernadette Chirac) ;- un petit message de félicitations de Cécilia Attias ;- un petit ensemble Tartine et Chocolat (Pierre Sarkozy).
Elle est balance ascendant taureau.
"Polarité astrale très vénusienne, nature d'artiste, tout entière axée sur la beauté et l'amour. Désir de plaire, de séduire, de charmer, ne peut vivre sans chaleur humaine. Goût de la fête, de la musique, des plaisirs, avec un penchant (petit ou grand !) vers la facilité. Très douée pour rendre la vie amusante et agréable à son entourage." (source : Franceastro)
Le truc inespéré, ce sont les critiques de Marine Le Pen qui a regretté que le prénom ne soit pas français. Parce que sinon, vous êtes bon pour la mise à niveau proposée par Closer : il vous faut revivre les temps forts de la grossesse. Personnellement, je me suis rendu compte que j'avais complètement manqué ça.
Ou vous pouvez encore échouer sur le site Gala. Obnubilée par la prochaine tétée, notre stagiaire tombe sur un article consacré à l'actrice Denise Richards : "Les seins de la colère". Il est sûrement question d'aborder la problématique allaitement au sein ou lait artificiel. Sous-titre : "La belle regrette ses implants mammaires." Il faut tout d'abord en passer par une histoire d'erreur médicale, une histoire horriblement instructive : "Le médecin qui s’est occupé de moi m’a placé des implants plus gros que ceux que j’avais demandé."
L'important, c'est d'en tirer une morale qui pourrait servir à une ex-mannequin par exemple. "Aujourd’hui, envahie de regrets, Denise Richards veut inculquer à ses filles l’importance de rester soi, et les éloigner à tout prix du culte de la maigreur omniprésent sur les collines de Los Angeles: «Quand je fais de l’exercice, je ne dis jamais que je m’entraîne pour rester mince. J’utilise toujours les mots santé et force. Je ne suis pas obsédée par mettre du maquillage dès que je sors de chez moi, ou à renvoyer une certaine image. Je veux vraiment que mes filles aiment leur corps et qu’elles aient confiance en elle.""
C'est toute notre époque ça : la psychologie passe avant la diététique.
Et la morale avant la psychologie : "Même pas une semaine et déjà tata !"
Car le neveu et la tante ont le même âge : "L'augmentation du temps d'études, l'entrée tardive des hommes dans la vie de couple, les recompositions familiales après 45 ans, autant de raisons qui font qu'il existe de plus en plus une parenté tardive. Giulia, la petite fille du couple Sarkozy, entre donc pleinement dans cet exemple de ces nouvelles familles contemporaines."
Après Les Rois maudits, on pensait qu'on tenait les Borgia. "N'ayez pas foi en eux !" ne cessaient de nous répéter les gynéco des leftblogs. Mais voilà, c'est prouvé désormais, ils sont comme vous !