Le côté féminin, plus racé que le hip hop, la dubstep dance rendue mainstream par une vidéo habile. Ici, avec un titre mélancolique de Christina Aguilera (qui me fait penser à Everything but the girl). Les bolos qui se dégraissaient les pattes en se filmant dans leur garage à l'époque séminale de la tecktonique sont renvoyés à leur préhistoire de baltringues néo gabber frenchouillasse. La grâce, le style, la légèreté, un monde raffiné, alliés à une musique subtile et complexe, fille de la Drum n Bass et de la Jungle des ghettos noirs de Londres. C'est une mode, ma foi. Mais réservée, pour le coup, à une élite. Mainstream et underground à la fois.