Et si l'on se réfère à Jason Terry, qui s'avoue pas très optimiste sur le lock-out après avoir participé aux dernières réunions, cette grève n'est pas seulement un souci pour les joueurs et les propriétaires :
"J’espère que nous pourrons résoudre cette affaire parce que ça affecte plus que les joueurs. Vous avez beaucoup de gens de la classe ouvrière qui dépendent de nous, leur travail en dépend et leur famille aussi. Pour nous nous devons juste trouver un accord et faire ce que nous faisons le mieux, jouer au basket."
C'est dans cette ambiance morose que le journal SportsBusiness annonce les derniers chiffres de licenciement a incombé au lock-out. Si en Juillet la ligue avait déjà fait état de 114 licenciements aujourd'hui les estimations faites par le journal porterait le nombre de chômeurs à 400.
Ce personnel limogé représenterait 11% des effectifs et ferait partie d'un plan de réduction des dépenses estimé à 50 millions de Dollars. Et si l'on en croit certains analystes certains postes pourraient ne jamais être recrées :
"Le lock-out peut permettre aux dirigeants des franchises de juger si tel ou tel poste était réellement indispensable."
De biens tristes nouvelles qui ne devraient pas s'arranger dans les jours qui viennent, rappelons tout de même que si du côté des Lakers, des Bobcats ou encore des Pistons on a officialisé certains licenciements, la solution pourrait venir du côté de South Beach et de Miami qui a opté pour une baisse de salaire en attendant de trouver une autre solution au problème.
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