Ils flottent, ils sont dans cette forme de courbe si particulière que la jeunesse dispose comme un balcon entre le présent et l'avenir.(...)les départs de fiction dont est capable n'importe quel faubourg ou n'importe quelle villa aux volets clos sont plus riches que ce qui s'efforce de leur procurer, via des personnages, une existence littéraire
Jean-Christophe Bailly, "All gone into the world of light" & "Frontières, encore", Le Dépaysment, Seuil, coll. "Fictions & Cie", 2011.