Y a quelque chose qui ne va pas, qui ne tourne pas rond : y a un loup ! Mais des expressions avec le mot "loup", je t'en ai déjà citées tellement que je t'y renvoie ! Se jeter dans la gueule du loup
- “Qui a peur du méchant loup”? Pas vous les enfants parce que vous savez qu’on ne trouve plus de loups un peu partout dans la campagne, comme autrefois, bien avant ma naissance. Mais vous connaissez quand même l’histoire du Petit chaperon rouge ? Un conte de Charles Perrault : Cendrillon, le Chat botté, Peau d’âne, c’est lui aussi qui les a écrits et vous les connaissez au moins par les films qu’on a en a tirés. Toujours est-il que le loup mange le Petit chaperon rouge pour prendre sa place et manger la grand-mère. Et “La chèvre de Monsieur Seguin” : “Quand la chèvre blanche arriva dans la montagne, ce fut un ravissement général.” Et là aussi “Le loup se jeta sur la petite chèvre et la mangea”. Toujours affamés et méchants les loups des contes ! Se jeter dans la gueule du loup signifie simplement “faire exactement ce qu’il faut pour avoir des ennuis”. Vous, quand vous faites un grosse bêtise sous le nez de papa ou de maman, vous vous jetez dans la gueule du loup !
- De grâce un peu de personnalité et de courage : Hurler avec les loups
- Allons, allons ! N’imite pas le hurlement du loup. Tu sais très bien qu’il n’y a aucun rapport avec ce que je veux te faire comprendre. Dans la vie, si tu as un avis personnel, il faut le défendre, quitte à le modifier si tu vois que tu t’es trompée. Surtout, ne pas se ranger automatiquement du côté de ceux qui sont les plus nombreux ou les plus forts. Un peu de cran, que diable. Il en faut parfois pour être soi-même. Ne hurle pas avec les loups !
- Crier au loup : prévenir d’un danger. Si tu cries trop souvent au loup sans raison, tu risques de n’être plus écoutée quand il arrivera réellement.
- Se jeter dans la gueule du loup : foncer dans les problèmes.
- Avoir une faim de loup : telle que tu es prête à manger tout ce qui te tombe sous la dent.
- La faim chasse le loup du bois : lorsque l’appétit te vient, tu sors de ta tanière, ou de ta chambre, pour te précipiter vers le frigo.
- Un froid de loup. Si j’ose : à ne pas mettre un chien dehors ! Une température sibérienne.
- Quand on parle du loup, on en voit la queue : nous étions en train de parler d’une personne et la voilà qui arrive.
- Quand tu ne veux pas que je t’entende, tu marches à pas de loup, sans faire de bruit.
- Dans notre rue, tu es connue comme le loup blanc. Tout le monde sait qui tu es.
- Faire entrer le loup dans la bergerie : le loup est un prédateur. Il s’en prend souvent aux moutons. Si tu lui facilites la tâche...
- Entre chien et loup : le soir il arrive un moment où il serait difficile de distinguer un chien d’un loup. C’est un moment à risque pour la circulation en voiture.
- Un loup de mer : un marin expérimenté.
- Un jeune loup se dit d’un jeune ambitieux qui a les dents longues.
- On dit aussi que l’homme est un loup pour l’homme. Un rival pour les autres et qui, si on ne lui imposait pas de limites serait prêt à tout pour subsister et conserver la vie.
- A la queue leu leu, qui tire son origine du mot “leu” (en vieux français “loup”) signifie les uns derrière les autres.
- Et si on t’appelle “mon petit loup”, ce sera par gentillesse et amitié.