Je suis malade. Depuis dimanche soir, ma tête menace d’exploser à tout instant et de violents maux de tête réfractaires à tout Efferalgan et consorts, me ravagent. Je me sens somnolente et tombe de sommeil sans crier gare. Ce matin, fermement décidée à ne pas me laisser terrasser sans rien faire, j’ai pris un solide petit-déjeuner (toast, oeuf au plat, jambon, thé russe). Effectivement je somnole moins
Et puis ce n’est pas le moment non plus : malade ou pas, les préparatifs continuent.
Heureusement, certains petits problèmes se règlent quand même. Ma belle-mère a réglé celui de la chorale à l’église, le jour J (il fallait en trouver une, l’église n’ayant pas de choristes attitrés). Il ne nous reste plus qu’à voir les détails des chants avec eux -mais personnellement, je ne suis pas exigeante, tant qu’ils savent chanter l’Ave Maria, tout me va (si, c’est exigeant?).
Un pic d’activité photographique nous est tombé dessus hier : ils ont appelé Chéri plusieurs fois dans la journée pour obtenir des rendez-vous. Après avoir discuté avec les couples de la réunion de dimanche, nous avons quand même relativisé les prix pratiqués pour les reportages photos et vidéo -mais ça ne m’ôte pas de l’idée que ça reste cher.
L’une des pâtisseries que nous avions sélectionnées a fermé. Mince. Ses gâteaux avaient la réputation d’être très bons. Il nous en reste encore deux autres à voir.
Sinon, un brainstorming est prévu pour la décoration de la salle. J’ai déjà quelques idées réalisables, mais à plusieurs sans doute que ça ira plus vite. J’aimerais tamiser les lumières et mettre des effusions de bougies sur les tables, mais il paraît qu’il faut demander au tenancier avant (?). Mmh. Pour le reste, il va falloir enfiler mes gants de bricoleuse et travailler le fil de fer en aluminium, pour réaliser les supports de fleurs et des noms de table (idem, photos dès que ce sera fait).
Pour les confettis, on a acheté du papier marron et turquoise, et deux perforeuses à motifs ; et chaque soir devant le film, on perfore, on perfore, on perfore (bon, la cadence de travail s’est nettement ralentie ces derniers soirs, cause de flemme monumentale…). C’est moins pratique que d’acheter des sachets, tout faits certes, mais pas aux nuances exactes des couleurs que l’on veut (c’est aussi l’inconvénient de choisir des couleurs non-standard…).
Bref, il reste encore du travail à abattre. En attendant, je vais me faire une infusion de violette, et ça ira tout de suite mieux.