De Smooth Criminal à Star Wars, une débauche d'effets spéciaux signés Buckethead, d'où la tronche. Le seau, je veux dire. Le sceau de la virtuosité en fait. C'est un songe creux à la Satriani, un rêve aphrodisiaque de Guitar Hero. N'est pas Hendrix qui veut. Manque une âme donc. A force de s'échiner sur son manche, force de l'astiquer (???) il surjoue dans son ciel sans nuage de divinité de la guitare. C'est toc, mais on aime quand même. "Trop de notes" disait Salieri à Mozart dans le film de Forman. Trop de notes tue, surtout les oreilles en allumant les yeux du spectateur qui passait par là par hasard.