Aujourd'hui (samedi 22 octobre 2011) a eus lieu de 9h à 15h sur la place st croix un nouveau rendez-vous consacrez au "slow food".
Cette journée fait suite à la "Semaine du goût" initié à Bernay par un professeur du lycée "Clément Ader".
Alors vous auriez le droit de me demander ce qu'est le "slow food" ?
Alors, en quelques mots succincts, "Le slow food" et l'inverse total du (on s'en doute) "Fast food".
C'est "Le manger gras, mal et vit fait" contre "Le mangée bien, bon et doucement " si je puis dire (rire).
Le "slow food" et soutenue par l'équipe du "Cagouill'Eure".
Pour le ce "Mangée lentement" s'est une association née en 1989 qui lutte nous dit-ont :
"Contre la disparition de nos traditions culinaires et le désintérêt croissant pour le goût et l'origine de ce que nous mangeons".
Quelle saine et bonne idée que voilà (même si elle n'est pas neuve).
S'en suivrons "L'AMAP", etc., etc.
Même si le goût, l'art du bien et du bon mangé doucement ne sont pas réellement morts, sinon les grands cuisiniers de France auraient depuis longtemps mis la clé sous la porte, mais bon.
Il est toujours intéressant et bon d'avoir des groupuscules sympathiques militants actifs et radicaux qui luttent dans la semi-pénombre pour offrir un nouvel éclairage aux dessus de nos assiettes (rire).
Je ne vais pas vous relater tout le fascicule qui comporte moult détails que j'ai pris ce matin, non.
Je veux juste vous dires que Bernay et une ville qui aime s'est arts de la table et le fait savoir en de multiples "Coups" marketing et promotionnels avec des organisations par exemple de :
"Marché de Noël", de rencontres "Des becs fins", de là non moins devenue célèbre "Semaine du goût", etc., etc.
Tout ceci sont autant de rendez-vous conviviaux et qui ont tous un seul et même but faire découvrir aux petits palais comme aux grands aussi (rire) que savoir sentir, voir, se mettre l'eau à la bouche, rien que par les couleurs les odeurs les gestes du savoir-faire des métiers de bouche s'est formidable.
Et mes papilles mazette furent mise à rude épreuve se matin.
Bah oui quoi, promener vous le long des stands et vous me direz si vous-même l'eau ne vous pas à la bouche (rire).
Car des goûts et des couleurs ça pour sûr il y en mais alors, des odeurs, hum cela m'en à réveiller l'envie de mangée.
Pensez donc voyais donc tous s'est :
Pâtée - Fromage - Fruits - Légumes - Charcuterie - Bières traditionnelles - Vins.
Idem pour le pain qui la n'en parlons pas (rire) fut fait par un boulanger sur Bernay.
Il a fait sa farine avec une presse traditionnelle là, sous nos yeux.
Il me fit gouter gentiment une tranche de pain blanc que je ne vous dis que cela.
Et je vous confirme que cela en effet n'a rien avoir avec le pain courent que nous mangeons mon dieu.
Je comprends alors ici nôtre pauvre Gargantua qui n'us qu'une envie, c'est de manger jusqu'à la lie.
Alors, le fond de ce rendez-vous dégustatifs fut aussi de faire connaitre les maraichers, fermiers agriculteurs, les éleveurs porchers de volailles, etc., pour que ceux-là montre le savoir-faire qui perdure au-delàs des mécanismes d'achats que nous avons la tête plongée dans les rayons frais de tous nos supermarchés.
"slow food", "Bienvenue à la ferme", Les paniers de l'AMAP, etc. font partie de s'est moments conviviaux de rencontres ou l'on peut si on le désire s'ouvrir aux mieux mangées frais dépecer cuit et mis en terrine - pot, etc. par s'est propres soins, hum, slurp, miam.
Pas très loin de Bernay nous avons une ferme (à Carsix) plutôt cibler sur les alcools (cidre et s'est déclinaisons) c'est tout de même intéressent à voir.
Puis immanquablement il y a le "Potager" de Beaumesnil (qui offre la possibilité de remplir un panier de fruits et légumes pour la maison moyennent une somme fixe, aller y ça vaut le détour).
Puis encore, au Bec Hellouin il y a une ferme qui initie petits et grands à la culture "Bio" (comme ce mot peut-être à la mode en ce moment, rire).
Bref, il y a pléthore de fermes et/ou fermettes-restaurants, etc., à voir, découvrir, que je ne peux qu'arrêter une sélection de quelques-uns de ceux-là (sinon mon article n'y suffirait pas).
Mais quelques parts, le bon, le frais, le bio, etc., oui, tous cela à un coup et la terrine de rillettes d'oies au porto (par exemple) les saucissons maisons coûtent quoi, entre 30 et 50 centimes de plus que dans nos hypermarchés et/ou épiceries habituels est alors. Pour ma part si je me lance dans la course au "slow food" je ne cherche pas, je ne calcule pas non.
Ou si, pardonner, moi, oui, je calcul, mais ici les simples plaisirs que de doux mets traditionnels peuvent m'offrir et pour moi, et nous sommes de plus en plus nombreux à le penser et le vivre, cela n'a pas de prix…
Photographie : "Journée slow food marché de Bernay" montage photos par le citadin octobre 2011®©.
Voici un lien internet pour mieux vous orienter vers le "slow food" :