Aujourd'hui, il (François Bowen, professeur à l'Université de Montréal et membre du Groupe de recherche sur les environnements scolaires) dresse un portrait plutôt mitigé des efforts faits par Québec pour contrer la violence en milieu scolaire.
«Ça prend des actions beaucoup plus ciblées, dit-il. Là, on applique le même mode de fonctionnement partout, sans tenir compte du fait que la réalité de Québec peut être différente de celle de Sherbrooke, par exemple.»
(NDLR : Les solutions mur à mur sont le propre des monopoles d'État.)