La discussion est toujours possible via Linkedin, Twitter (si comptes créés), lors de conférences, de tweetups par exemple.
Une chose certaine : l'ancien salarié dispose d'une perception plus affinée de la culture d'entreprise et de l'interne de l'entreprise. Il est à même d'alimenter un bouche-à-oreille positif comme négatif, selon l'expérience vécue et son opinion personnelle.
Il peut paraîre utopique de créer un groupe d'alumni pour 100% des partants.
Pour les anciens salariés et employeurs qui le souhaitent mutuellement, poursuivre la discussion en mode interne peut être une manière de garder le lien.
Aujourd'hui, pour certains métiers, un changement d'entreprise (sur la base d'une rupture positive) marque moins une fin d'échange mais plus une transition. C'est le cas pour l'ancien salarié :
- qui prend quelques missions en freelance avec son ancien employeur
- qui crée une société et qui a son ancien employeur comme client effectif
- qui passe dans une société dont l'activité est complémentaire à celle de son ancien employeur (et où des synergies sont possibles)
- qui peut faire appel à son réseau pour des recrutements
- qui repartira finalement dans l'entreprise
- qui souhaite rester en contact avec des anciens collègues et rester informé des apéros, tweetups ou autres rendez-vous "décontract"
(crédit photo)