il ne peut y avoir de féminisme sans une perception du réel des femmes. De sa diversité.Ni sans remettre en question la"douceur féminine",en ignorant ou en refusant d'admettre la violence féminine.certes elle s'exerce ici le plus souvent dans le monde familial. Mais l'exemple du terrorisme peut nous permettre de sérieusement remettre en question l' "idéal féminin", qui veut considérer les femmes comme forcément victimes,sous-citoyenne voire comme des andouilles nunuches juste bonnes à morfler! Ce machisme persiste chez les féministes bourgeoises autant que chez les machistes purs et durs...le combat pour la reconnaissance de la réalité,de la diversité du fait féminin doit considérer que ce sont là deux ennemis des femmes. Tandis qu'en les considérant comme humains, tout simplement,on avance vers une vraie libération.
L'articleq ue je mets en lien déclare" la notion d'une femme perpétrant des actes de violence «est contraire aux stéréotypes et conceptions erronées occidentales concernant les terroristes masculins; nous partons du principe que les femmes sont des citoyens de seconde zone et s'appuient sur les hommes pour diriger l'organisation» ... Et va plus loin. si,pour ce qui est du terrorisme islamistes,il par le peu des femmes occidentales converties,c'est un mal véniel:leur nombre augmente tandis qu'il est peut-être tôt pour bien saisir le sujet. Mais,au-délà de la condamnation légitime des meurtres,il convient de respecter enfin les femmes et de les considérer enfin comme humaines, c'est àdire capables du meilleur comme du pire.
voilà:http://www.terrorisme.net/p/article_190.shtml