Rénovation des lavoirs de Bernay tant par la mairie que par des particuliers bravo et merci de sauvé notre patrimoine urbain...

Par Unevillemaville2
Rappeler vous lors d'un article (publiais aux environs de l'été 2011) qui avait pour thème "Le petit patrimoine ouvrier des lavandières" qui parsème les bords de nos deux rivières la "Charentonne" et le "Cosniers", je vous avais écrit un article à ce sujet.
Donc, je tiens, dans un premier temps, à apporter une rectification (lire mon petit un qui clarifie définitivement mon propos)-(1) :
Oui, car j'avais aussi à ce moment-là, mis à mal, gentiment (je ne suis pas insultant envers la population surtout de leurs âges plus de 80 ans) une de nos anciennes citoyennes.
En effet, l'une des trois sympathiques filles d'un docteur réputer de Bernay dans les années 1900, avais laissais entrevoir quelque chose qui m'étonnât et dont je me fis échos.
Oui, je signifiant et me permis de remettre les choses en place (chose que le président actuel des "A.D.B" ne me contredit pas), en disant donc, que celle-ci n'avait jamais mis les genoux dans un lavoir et usées ses mains avec des battoirs à linge pour en faire son métier, mais comme elle me le précisa elle-même (le mercredi 19-10-11) elle "Suivais la femme de linge pour jouer à imiter son travail".
Donc, la voir là prendre la pause pour la presse locale lors de festivités rappelant le patrimoine ouvrier et urbain du début du siècle.
Bref, le président actuel qui veille aux grains sur tout ce que je peux dires à leurs endroits sur ce blog ma repris moyennement nerveux en me disent dans les grandes lignes que :
"Cette charmante grand-mère à donner de ses propres deniers pour aider à la restauration d'un des nombreux lavoirs qui parsème les bords du "Cosnier" ou de la "Charentonne" et que de ce fait je lui devais le respect (je n'attends pas de tel acte pour avoir du respect pour elle, rire).
Bon, Je lui ai donc répondu en substance ceci :
"Grand bien lui fasse, son geste et honorable, mais cela n'empêche qu'elle ne fut jamais une vraie lavandière et ceci achète-t-il cela (rire) ?".
Ceux à quoi je me fis répondre que non cela va de soi.
Je vous pose la question à vous mon lectorat :
"Ais-je dans mon propos d'alors proféré des insultes envers cette grand-mère que je côtoie et respecte ?".
Donc, en, effet sur le fait de cette restauration d'un lavoir payée par s'est propres deniers cette même charmante grand-mère me confirma bien qu'en effet elle eut payée, mais pour la réfection du toit du lavoir familial qui fait partie de leurs demeures et qu'il lui incombé de subvenir aux frais éventuels pour de telles réfections, pour éviter qu'il ne s'effondre en pleine rivière ou sur l'une de ces trois sœurs.
"Nous avons fait la dalle en béton il y a quelques années et mon père l'avais construit et consolidé les murs" me dit-elle encore fort sympathiquement.
Bref, est pour revenir à mon sujet (rire), j'avais aussi parlé dans ce même article de ce fameux lavoir (rue de geôle) qui au départ était un mini- abattoir puis devint un lavoir.
Enfin, ais-je envieux de dire, "Un des lieux ouvriers d'un Bernay du temps jadis qui renait".
Bon, même si cette renaissance et somme tout plus une réhabilitation d'un espace mort de la ville qu'une réelle réflexion et réfection dans un ton patrimonial réel (je salue tout de même ici l'initiative, rire).
Alors bon, ce lieu nous dit-ont, "Servira pour des manifestations".
Ok, mais de quel ordre (cela doit encore être trop vague) ?
Rénovation très contemporaine je trouve même si le font employée tant par la technique que par les matériaux dits "Traditionnelle" semblent être du plus bel effet (toujours quand s'est neuf).
Alors, pour éclairer ma lanterne quant aux financements de cette rénovation après les propos sur "Qu'une éventuelle prise en charge totale de cette grand-mère sur la rénovation d'un lavoir (le président ne m'eut pas précisé duquel il s'agissait).
Donc oui, j'ai demandé au maire de Bernay par le biais de nos pages "FB" à qui a incombé le financement de cette rénovation, celui-ci m’a répondus ceci :
"La ville a réalisé et financé les travaux. Elle a obtenu des financements de l'État et du Conseil général exclusivement".
Voilà qui est on ne peut plus clair, non.
Maintenant, à voir comment nos amis Taggers et Graffers locaux s'emparerons (dans l'illégalité la plus totale, rire) de ce lieu encore aujourd'hui tout beau tout neuf pour nous offrir une fresque de toute beauté et/ou toute salopée (rire).
D'autres lavoirs devraient suivre le même sort de tout le long de cette promenade "G. Le Nôtre" ma t'ont laissé entendre et s'est tant mieux.
Espérons alors que s'est rénovations là soit fait dans la pure tradition des constructions de lavoir d'alors et espérons encore, qu'outre, un contentement certain par des associations se revendiquant sauveurs de notre "Petit patrimoine" ceux-là soit plus exigeant quant à la rigueur et de l'avenir des lavoirs en études de réhabilitations.




(1) Je voudrais ici signifiait que je choisis délibérément de cesser de parler de cette association des "Amis de Bernay" malgré ma bonne volonté et mon envie, car le fait de l'histoire locale m'intéresse fortement depuis longtemps. Car si c'est pour avoirs de régulières remontrances toujours évidemment négatives en mon endroit comme d'un gosse qui a mal fait son devoir. Je ne suis pas là pour flatter quelconques associations et/ou personnes. Je fais ce blog (depuis 6ans) pour dires, ce que j'estime vrai et juste dans le respect de chacun. Je leur propose donc un unique et dernier droit de réponse s'ils le veulent et je tâcherais alors de ne plus me faire l'écho de leurs travaux comme je le fais sur les actes de l'opposition locale (sauf grande exception) et du marionnettiste agitateurs politico-culturel Bernayen. Ainsi, ils ne se sentiront plus insulter et/ou dénigrer par mes propos (qui ne sont que la vérité) et comme toutes vérités n'est pas bonnes à dires voilà. Je tiendrais d'après eux des propos "Fielleux - Virulents - Méchants et en plus (rire) bourrés de fautes limite illisibles" comme ils me l'ont fait comprendre, voilà, ont-ils gagné. Ils auront toujours les colonnes de la presse officielle locale et/ou les autres blogs sur la ville pour trouver un écho plus flatteurs en leurs endroits et à leurs actions.

Photographie : "Lavoir - abattoir rue de geôle" sorte d'avant - après par le citadin juin - octobre 2011®©.
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