Hawaii Five O // Saison 2. Episode 5. Ma'eme'e.
L'intrigue de Kono qui se retrouve à fricoter avec les méchants, dont le très bizarre William Baldwin qui sait pas jouer, ne pouvait pas durer une éternité alors elle prend fin dans cet épisode.
Ce qui m'a fait bizarre c'est de voir que la série n'a pas eu le courage de ses actes et qui révèle qu'au final, Kono travaille en tant que agent infiltrée pour les affaires internes. C'est beau
les scénarios quand même, donc on choisit le clan de la facilité. Après tout, pourquoi pas, mais j'aurais pensé mieux de la part de la série. Mis à part cette facilité que j'avais vu venir à des
kilomètres sans pour autant me méfier, il y a tout de même une affaire et une bonne affaire. Après celle de la semaine dernière qui jouait un peu trop sur un trip qui a eu du mal à se mettre en
route, celui ci conserve pleinement l'esprit fun et surtout l'action de la série. Chin Ho reçoit la visite de son ex femme, qui va aussi sermonner Kono au passage. Le personnage ne reste pas
suffisamment longtemps pour vraiment s'y attacher. Donc l'intervention ressemble à du bouclage d'épisode.
Toute la partie Kono était excellente. On avait droit à de bons moments, et notamment une bonne scène d'action à la fin de l'épisode. Le groupe de mafieux dont elle fait partie était un peu
bancal, notamment à cause de William Baldwin qui ressemble à un méchant de cartoon. On fait avec et ça passe très bien. Surtout quand le rythme est mis derrière tous les diverses éléments qui se
déroulent au fur et à mesure de l'épisode. L'ouverture de l'épisode se fait sur la mort d'un coach d'une équipe de volleyball féminine de l'Etat. Le début était très fun avec le bizutage. Après
on entre dans le côté flic classique de la série, ce qui permet de ne pas voir Masi Oka, car ce personnage commence déjà à m'énerver, et je suis sérieusement pas sûr que son ajout au cast de la
série était finalement une bonne idée - et ce même si il peut apporter un peu de fun à l'ensemble -.
Note : 7/10. En bref, un solide épisode avec Kono et Cie...