Selon une enquête du Crédit foncier, une des motivations importantes des accédants à la propriété est devenue de réaliser une plus-value. Ils sont 64 % aujourd’hui, contre 48 % dans les années 80 selon cette étude publiée dans le Parisien. Quel que soit les générations, soit plus de 90 % des personnes sondées, la volonté de ne plus payer de loyer tout en disposant d’un logement restent tout de même les principales motivations des primo-accédants. Mais les nouvelles générations seraient plus stratèges : étant 22 % en 2010, à souhaiter revendre dès que possible, contre seulement 4,2 % en 1980. Les acheteurs d’aujourd’hui sont aussi plus attentifs à l’état du marché, 75 % contre 66 % des primo-accédants en 2000, tout en étant plus fiers de leur acquisition, 67 % contre 54 % pour la génération 2000. En revanche, ils sont toujours environ 70 % à évoquer un achat en prévision de la retraite.Selon cette étude, chaque génération semble différente face à l’achat immobilier. Les acheteurs des années 80 mettent en avant les sacrifices effectués pour rembourser le prêt, quand les primo-accédants des années 2000 se disent les plus satisfaits grâce au contexte économique favorable de l’époque.
Achat immobilier : les accédants veulent devenir propriétaire pour s’enrichir (18/10/2011)
Publié le 19 octobre 2011 par Infos.trouver-Un-Logement-Neuf.comSelon une enquête du Crédit foncier, une des motivations importantes des accédants à la propriété est devenue de réaliser une plus-value. Ils sont 64 % aujourd’hui, contre 48 % dans les années 80 selon cette étude publiée dans le Parisien. Quel que soit les générations, soit plus de 90 % des personnes sondées, la volonté de ne plus payer de loyer tout en disposant d’un logement restent tout de même les principales motivations des primo-accédants. Mais les nouvelles générations seraient plus stratèges : étant 22 % en 2010, à souhaiter revendre dès que possible, contre seulement 4,2 % en 1980. Les acheteurs d’aujourd’hui sont aussi plus attentifs à l’état du marché, 75 % contre 66 % des primo-accédants en 2000, tout en étant plus fiers de leur acquisition, 67 % contre 54 % pour la génération 2000. En revanche, ils sont toujours environ 70 % à évoquer un achat en prévision de la retraite.Selon cette étude, chaque génération semble différente face à l’achat immobilier. Les acheteurs des années 80 mettent en avant les sacrifices effectués pour rembourser le prêt, quand les primo-accédants des années 2000 se disent les plus satisfaits grâce au contexte économique favorable de l’époque.