Le 17 Octobre 1961 à Paris fait réagir Belka fils de harki..

Le 17 Octobre 1961 à Paris fait réagir Belka fils de harki...

Notre Histoire votre Politique.

L'instrumentalisation de cette manifestation du 17 Octobre 1961 à des fins politique est d'une irresponsabilité totale, probablement criminel. Cet acte aura plutôt tendance à raviver la guerre des mémoire, à attiser la haine en France entre toutes les Communautés originaires du sol algérien (Immigrés, Harkis, Pieds-noirs).

Nous sommes pour la reconnaissance de toutes les atrocités commises durant cette guerre d'Algérie aussi bien par la France mais aussi par l'Algérie. Le devoir de mémoire,ne peut être ni sélective, ni à sens unique.

Ce qui me chagrine un peu dans ce genre de manifestation, c'est que l'on va opposer les français les uns aux autres.

Nous sommes d'accord, il faut que de vrais historiens, non engagés puissent travailler en toutes liberté, afin de rétablir les vrais faits du passé en les plaçant dans leur contexte à la fois dans le temps et l'espace.

C'est le travail des historiens. La commémoration et la célébration, c'est le boulot des hommes politique de France,comme celles de beaucoup de nations est à double facettes. Elles ont leurs pages sombres et leurs pages lumineuses.

J'ai le sentiment que Messieurs Benjamin STORA et Gilles MANCERON sont très mal placés pour nous donner des leçon d'histoire. Ce sont certes des historiens, mais des historiens engagés. Un engagement qui ne peut être force de neutralité ne peut pas être neutres pour parler du conflit algérien.

Ce sont les champions de l’auto-flagellation, de la culpabilisation permanente de la France. Ils parlent d'une façon abominable de la France et de sa colonisation et avec des atrocités commises par le FLN.

Cette manifestation n'a rien avoir, avec le devoir de mémoire, qui aborderai de la même façon tous les crimes commis à cette époque. Quand à Monsieur François Hollande, je lui conseille d'éviter de rentrer dans ces querelles mémorielles à sens unique qui risquent de lui porter un préjudice électorale énorme pour arriver à la Magistrature suprême.