Roumpf, roumpf, c'est le chaos rue de Rennes.
Malgré les explications des panneaux, on ne comprend pas bien ce qui va se passer jusquà la mi-2012 (tiens, est-ce un hasard ?), si ce n'est que la rue est actuellement complètement rétrécie par le chantier, qu'on a encore enlevé un kiosque à journaux, que cela devient difficile de circuler à pieds sur les trottoirs. Les édiles parlent d'un "espace public mieux partagé et embelli"...
Je râle, donc je suis ...Pourtant, il paraît que les écologistes du 6° sont d'accord. Je veux bien le croire. Il en sera donc fini d'une rue devenue autoroute urbaine : la Ville de Paris a engagé une concertation, pour transformer cet axe routier Nord Sud en espace civilisé, donnant la priorité aux piétons.
Les passants de la rue de Rennes sont en effet d’abord des piétons (23 marchands de chaussures !), ou des cyclistes, descendant du Mont Parnasse jusqu’à Saint-Germain des Prés et la Seine, ou des touristes (10 agences de voyage avec la Sncf), ou des milliers de jeunes scolaires ou étudiants. Ou, tout simplement, les usagers des dix lignes de bus ou des trois lignes de métro. Seuls 3% des clients viennent en voiture.
Mais bon, ce matin, on s'en va. On descend dans le sud retrouver le beau temps, et accueillir Jean-Baptiste et un de ses copains pour les vacances scolaires. Avec quelques petites incursions à Dax où nous serons ce soir.
J'adore partir ...et revenir. Avec deux maisons, je suis comblée.