Pas facile de respirer en ville à pleins poumons. Vite, un bol d’air des Landes pour me sentir bien.
Pourquoi j’étouffe en ville ? Parce que je manque cruellement d’oxygène, mais pas seulement. Disons plutôt que je suis mal oxygéné/e ce qui m’induit sans que je m’en rende bien compte une fatigue languissante, un stress oxydatif et un vieillissement prématuré. Arglll ! Que faire sans me bousiller la santé avec des médocs ?
Besoin d’un regain d’oxygénation
Ce phénomène pas nouveau, qui va en s’amplifiant, avait été signalé il y a déjà une vingtaine d’années par René Jacquier (1911-2010), ingénieur chimiste inventeur avant-gardiste de la méthode d’oxygénation biocatalytique destinée à renforcer la vitalité des
personnes malades. À l’origine de sa méthode, la coqueluche de ses petites filles guéries après un voyage en avion ! C’est en réfléchissant sur la relation existante entre la pression atmosphérique et le sang, qu’il parvient à la conclusion que certaines phases du vol permettaient une diffusion d’oxygène supplémentaire au niveau cellulaire. Le regain d’oxygénation était suffisant pour permettre au malade de lutter contre sa pathologie. René Jacquier s’est alors interrogé sur la capacité de certains produits naturels à se transformer en transporteurs et catalyseurs d’oxygénation. Chimiste et observateur de la nature, il étudie les essences terpéniques, issues des pins et sapins aux oléarésines aptes, une fois distillées, à redonner l’oxygène (jusqu’à 168 fois leur volumes en oxygène)… Il ne restait plus qu’à mettre au point la machine à diffuser l’oxygène enrichi en bon air de pins des Landes et zou… Le « Bol d’Air Jacquier » souffle jusque dans nos cellules d’urbains H.S.
Kesako le Bol d’Air Jacquier ?
Reconnu par le corps médical, le fameux « Bol d’Air Jacquier » se développe depuis 1989 grâce au soutien de Marie-Laure Delanef, fondatrice du Laboratoire Holiste, qui le fabrique. La naturopathe, Laurence Salomon lui a consacré un livre-guide : « Respirez la santé grâce au Bol d’Air Jacquier », publié aux Éditions Grancher.
À ce titre, le Bol d’Air Jacquier est utilisé en préventif comme en accompagnement d’une thérapeutique pour lutter contre le facteur limitant qu’est l’hypoxie (générée entre autres par la pollution et le stress) ainsi que pour accroître la vitalité. Selon le Professeur Max Berger, ORL à Bordeaux, la méthode Bol d’Air Jacquier permet une amélioration du terrain, et prouvant l’innocuité de l’utilisation de
Être sous-oxygéné
affecte notre vitalité, notre santé.
l’appareil, il recommande des cures de séances respiratoires (de 20 à 30 jours) en pédiatrie, pour les adolescents, les adultes et en gériatrie, pour les personnes convalescentes, dans le cas de maladies métaboliques, nerveuses, allergiques et bactériennes, pour lutter contre la fatigue physique et nerveuse, voire contre les affections neurologiques, pour améliorer les cicatrisations notamment celles des brûlures, et pour toutes les pathologies au niveau des sphères ORL, cardio-pulmonaires, cardio-vasculaires, hépato-digestives et les cancers…
> BON PLAN SANTÉ : Utilisé 2 fois par jour pendant une chimiothérapie, le Bol d’Air aide à mieux supporter le traitement, ses effets toxiques se font alors moins ressentir, le foie étant soutenu.
Je teste le Bol d’Air Jacquier,
ça fouette !
Je ferme les yeux et inhale à plein nez pendant 3 minutes le bon air des pins des Landes. J’m’y croirais. Je ne peux m’empêcher de penser à ses petites-filles… et à mes enfants que je me promets d’emmener pour les détoxifier et les requinquer en attendant de pouvoir partir loin de la ville aux prochaines vacances. Une fois l’inhalation terminée, l’amélioration de l’oxygénation tissulaire continue.
De fait, je ressors de là les traits détendus, avec la sensation d’avoir « nettoyé » mon nez. Maintenant que nous rentrons dans l’hiver, il est bon de venir respirer cette oléorésine de pin des Landes si ce n’est tous les jours (optimal) du moins une fois par semaine pour me sentir bien dans ma ville polluée et stressante.
> ATTENTION, cela n’a rien à voir avec un ionisateur de l’air ou un bar à oxygène, il s’agit d’un dispositif élaboré permettant de transformer les parties volatiles d’un extrait de résine de pin en porteurs d’oxygène pour faciliter son assimilation dans l’organisme. C’est tout bon pour mes cellules… Ma jeunesse !
Bonus, le mouvement excentrique,
ça détend et tonifie
Pour une santé « globale », la Boutique Holiste/atelier de l’oxygénation cellulaire, préconise une remise en forme « 2-en-1 » je complète ma séance respiratoire d’une séance d’étirements progressifs, passive ou active, selon mon besoin. Un concept de remise en forme « 2-en-1 » nécessitant peu voire pas d’efforts, donc accessible à tous, petits et grands, jeunes et vieux, mise à disposition à la Boutique Holiste de Paris et de Lyon, les deux ateliers urbains de l’oxygénation cellulaire.
De l'air et des étirements… Fini la fatigue !
Il s’agit de la méthode « Evolis », soit une machine à étirer mise au point par Jean Frelat, déjà utilisée par les kinésithérapeutes, ostéopathes, entraîneurs sportifs et centres de remise en forme… Couchée sur la machine Evolis, je me laisse étirer dos et membres de façon progressive, tel un écartèlement tout en douceur. Ça fait grand bien à la colonne vertébrale et à mes bras et épaules trop tendus par la position ordinateur. Je peux résister pour me muscler au passage, j’y arrive. D’ailleurs, deux jours plus tard j’ai ressenti des courbatures en des endroits peu habituels.
Tiens, je ne pars pas à la Toussaint, je vais allez me faire une cure de Bol d’Air, finalement moins cher que des vacances au grand air (à défaut) !
Bol d’Air à la Boutique Holiste :13 rue Dumenge, Lyon 4e et 29 bld Henri IV, Paris 4e.
• 6 € le Bol d’Air Jacquier, 40 € le forfait 10 jours jusqu’à 3 séances par jour.
• 18 € la séance Evolis, 80 € les 5, 150 € les 10 séances, comprenant une séance de Bol d’Air à chaque séance d’étirements.
• Location de l’appareil Bol d’Air : 190 € le 1er mois, 150 € les mois suivants.
> Plus d’informations sur le site : www.holiste.com
> À lire : « Respirez la santé grâce au Bol d’Air Jacquier », 20 €, Éditions Grancher. En librairie.