
Rafael, derniers jours (The brave) de Gregory Macdonald, un roman de 191 pages qui va droit à l’essentiel avec des dialogues magnifiques.
De la très grande littérature américaine, de la même trempe que ‘La route’ (The Road) de Cormac McCarthy.
Attention au chapitre 3, très graphique. L’auteur ne nous épargne rien des détails du snuff movie, de l’ongle arraché à la tenaille au crâne éclaté à la massue.
Lu en français pour changer (merci Dame Canel pour ce super cadeau) et je note au passage un sans faute du traducteur Jean-François Merle.
La note de L'Ogresse:
