Encore des expressions. Dixit le fakir : Des clous

Que, dalle, tu n’auras pas un centime de plus. Tu as gaspillé bêtement tout ton argent de poche et maintenant tu viens pleurer pour avoir un supplément ! Des clous ! Il est préférable pour toi de marcher dans les clous, de filer droit et de te faire oublier. D’accord, j’enfonce le clou, j’insiste. Mais je pense que c’est nécessaire. Comment tu travailles pour des clous ? Tu oses prétendre que je ne rémunère pas suffisamment ton travail. Alors que je te paie grassement pour une tâche qui est souvent assez mal remplie ! Non, ça ne vaut pas un clou ! Ça ne vaut rien ou du moins pas grand-chose. Pas tripette... Je ne t’ai pas encore rivé ton clou ? Je ne t’ai pas encore réduite au silence ? De toutes façons, pour arriver à te faire taire... Sans clou, ni punaise, clouer le bec
Oh, mon chéri ! Quand je te dis que tu lui as cloué le bec, ne fais pas cette tête la ! Ne t’en fais pas, mon petit, je ne t’ai jamais imaginé avec un marteau et des clous en train de fermer la bouche à ton copain. Toi si gentil ! Je serais vraiment une mauvaise mère si je te pensais capable d’une chose pareille. Tout simplement, tu as trouvé les arguments qu’il fallait pour qu’il ne puisse plus rien répondre. Et sans la moindre violence, je te fais confiance. Sais tu d’ailleurs que clouer est une déformation du verbe clore qui signifie fermer et que l’on n’emploie plus beaucoup actuellement ? Comment ? Tu voudrais changer de portable ? Mais le tien est pratiquement neuf ! Décidément, un clou chasse l’autre, une nouveauté est vite remplacée par une encore plus récente ! Comme tu n’auras pas un sou de moi, tu peux mettre ton vélo au clou, au Mont de Piété pour avoir l’argent nécessaire. Tu deviens maigre comme un clou : tu n’as plus que la peau sur les os. Si tu nous fait un strip-tease, tu seras le clou de la soirée ! Le moment fort. Ta maigreur va polariser l’attention