N°1

Au lieu de flirter avec la force de la palpitation, égrener les substantifs en méandres de la consolation, et trimer inlassablement, je trouve la force de conviction d’affiner mon aparté en plaçant la barre des scripts intimes au delà, de la convulsion latente, sidérante et barbiturique. Aussi substitutif à, que constitutif de l’arbre des valeurs, ornant ostensiblement, la marge conséquente de la divagation sporadique, un nom, qui ne saurait se décliner en toute légerté, parce qu »émanant du quota des humbles et scrutant avec décence mon devenir, quoi que pris dans le tourbillon des interprétations fallacieuses, à tendance folie guerrière, ne quittera à jamais le sillage de mes penchants, encore moins la sphère de mes pensées, toutes tournées, à la magnifier au gré ou contre les humeurs, vents et marées.

Au demeurant, ce nom qui aura connus, les périodes les plus fastes de la pleine jouissance des extensions d’une vie, placée au carrefour de l’audience et du geek people, fait la pluie et le beau temps de l’archétype de la communication virtuelle, y compris une divine propension à idéaliser le dévouement telle une vénération, n’est appelé à surseoir, que les vindictes d’une frange malmenée par la turbulence de mes assertions emportant tout sur leur passage, délirante et suffocante qu’elle est, et laminée par une ascension chronométrée, au point qu’étourdie et ballottée, par une aura qui ne cesse de s’accumuler, elle s’émeut à chaque break, tente d’arrondir ses perceptions en version authentifiée et déguisée de la vieille rengaine des inimitiés, déclamée à coup de pompes et de fastes.

Ce nom qui fuse, à l’image de l’évocation esthétique de la beauté au summum des valeurs et du vouloir, et sublime de par l’amour qu’il sait transpercer dans le creux du vase, tout comme le laisser transparaître, sur le divan du monde, à ne point pouvoir s’en offusquer et défaire, aura sonné le glas et continue à mener tambour battant, une vie qui ne veut point s’éroder, encore moins, se submerger, dans des encrages semi déviationnistes….N°1