Twitter agit comme un poseur de balises, une sorte de réveil informationnel, je n'ai jamais tant lu ""The Economist" que depuis je me suis remis a Twitter. (Etrangement même si le libéralisme n'est pas ma tasse de thé (!), l'intérêt et la qualité de certains articles de "The Economist" m'attirent...)
Twitter offre une vision parcellaire du savoir, il agit comme un delta d'information. Pas de courants puissants, impétueux, mais un infini de ruisseaux, de ruissellements, de filets qui irriguent et fertilisent.
Le savoir est heuristique et le fragment est son matériau de base.Twitter, plus que les blogs et autre RSS, intègre ces deux facettes qui le fait entrer en résonance avec notre pensée réticulaire ; le following devient, un noeud externe, une connexion temporaire. Nous sommes le réseau.