A Neuchâtel, avec pourtant une cheffe théoriquement pas encore polluée par la langue de bois, voici qu’on apprend que si un gugusse sort par la fenêtre de sa cellule en pleine nuit ( pas de barreaux ??) et joue à l’équilibriste sans se casser la figure, tout ceci n’est au fond que le cours normal des choses.
Le détenu «a pris des risques considérables», estime Valérie Gianoli, précisant que l’homme était en détention préventive, prévenu de vol. Elle ajoute que les équipes de la prison ont fait leur travail «correctement», mais que l’évadé a quand même réussi à passer «entre les mailles du filet».
Visiblement la cheffe en question ne tricote plus depuis longtemps, avec une telle notion de mailles, sinon éventuellement les mots entre eux…