Selon lui, il ne faut pas exclure un haircut (un défaut) de la dette grecque mais aussi savoir que cela ne suffirait pas à régler la crise. Interrogé sur le fait de savoir si l'Union européenne discutait d'une décote de la dette grecque de 50 à 60%, il a répondu: "Nous discutons sur plus".
En clair 60% de la dette grecque pourrait être effacée purement et simplement (les banques détentrices de cette dette devront essuyer les pertes, et le risque de faillites en cascade est réel) mais ce serait insuffisant pour sauver le pays, le problème ne serait pas réglé ! ...