Je n'écris plus beaucoup ici, et pourtant il y aurait des choses à dire, à exposer. La lumière du matin sur la ville est parfaite. Il fait froid, les pieds sont glacés, mais ce sont les yeux qui regardent à travers la vitre qui voient la beauté du paysage urbain.
Désormais, je retourne là-bas, dans cette ville dans la ville. Elle ouvre des portes. Je me sens bien là-bas, mais parfois la schizophrénie m'envahit parce qu'il y a le regard de l'élève et de l'enseignant qui se fondent sur le même objet : le cours. Je rêve d'une vraie cohérence dans tout ça, pour le moment je m'y attelle mais c'est un peu dur. Il faut laisser les choses se faire, laisser le temps faire son œuvre sur mon monde.
Je le sais, maintenant, mon environnement devient stable, non pas ancré dans une routine qui me terrorisait, non, mais dans un cocon doux, agréable qui donne envie d'aller plus loin, encore.
L'idée des vacances se profile. J'ai hâte. Oui.