Au 19e siècle, les
carnets de voyage des artistes se composaient d’images collectées pour leur valeur documentaire. L’inventaire se pratiquait alors, dans l’esprit scientifique de l’époque, pour tenter d’établir un
répertoire objectif de formes.
Reprenant l’influence de ces carnets d’études, mes images sont issues d’un voyage immobile. D’une trivialité
apparente, elles exposent la ville d’aujourd’hui, complexe et fluctuante. L’emploi du noir et blanc et le respect de l’orthogonalité y créé un cadre
commun, propice à l’inventaire.
Voici une sélection des premières images déposées sur Twitter via Instagram: