Nikita // Saison 2. Episode 4. Partners.
Alors que le but même de la série est déjà définie, le but est de maintenant définir les nouvelles règles de la saison, et depuis déjà trois épisodes elle le fait brillamment. Je trouve que
Nikita est une série qui arrive aussi bien à lier ses personnages que ses intrigues d'une façon assez jouissive mais aussi très addictive. L'action est omniprésente dans cet épisode, rien que la
scène d'ouverture était excellente. Je pense finalement que Gogol, cette fameuse organisation secrète qu'on avait découverte il y a peu a un potentiel inexploité et qui tend à nous vendre du rêve
en barre. Et par action je parle notamment les scènes de combat qui sont toujours très bonnes, mais aussi utile à l'histoire. Le prologue de l'épisode, mettant en scène Kelly, l'ancienne
partenaire de Nikita à la Division et qui a contribué à sa porte de sortie, nous met déjà en condition, et surtout le personnage s'évade d'une prison turc. Alors même si la Turquie est très mal
représentée dans la série, on trouve tout de même intérêt dans les diverses ambitions de la série de se dévouer à l'action.
Nikita croyait cette partenaire morte, mais quand Amanda cherche à l'éliminer, forcément Nikita et Michael vont aller tenter de la sauver. Cela donnera un méli-mélo très solide d'intrigues qui
vont s'entrecroisée, entre des petits flashbacks intéressants pour établir la relation des deux femmes, mais aussi un parallèle très sympa avec la Division. En parlant de celle ci, Alex est de
plus en plus présente alors qu'au début de la saison elle était un peu en retrait. D'ailleurs cette saison se concentre énormément sur Nikita et Michael quand la précédente était très centrée sur
Alex avec Nikita. L'idée n'est pas mauvaise puisque cela renouvelle aussi le fond de la série, qui se retrouve forcément plus personnalisé aux couleurs amoureuses des deux tourtereaux. Après
reste encore quelques petites scènes qui vont mêler quiproquos mais aussi la mise en place de la fameuse agence Gogol dont Nikita et la Division elle même n'aime pas les agissements.
Note : 7/10. En bref, de l'action pure et dure, un ennemi qui se précise, divers protagonistes. Une réussite.