Et puis au fil du temps on se rend compte qu’Isaac a quand même un vie assez pourrie. Il affrontera ces créatures difformes et devra mettre littéralement des mains… dans la merde. Jouez-y, vous comprendrez. Ce petit être tout mignon et triste devra passer de salle en salle, et amasser divers bonus qui modifieront les capacités de notre antihéros (Vitesse, puissance de larmes, ou d’autres power up bien utiles). Le jeu est très court mais également très difficile. Mais peu importe, vous y rejouerez souvent étant donné que chaque partie sera différente. Tout change, de la disposition des salles au nombre d’ennemies, en passant par les pièces de monnaies, les bombes ou les autres “armes”. Le jeu se compose de 5 étages (dans un premier temps), comprenant chacun un boss. Traversez-les tous pour arriver au boss final, Maman. Mais vous n’y arriverez pas du premier coup, car comme dans Super Meat Boy (du même Edmund McMillen) il faudra vous y reprendre à plusieurs fois. Mais son univers mignon/trash fait qu’on y reviendra souvent.
The binding of Isaac n’est pas un simple jeu flash comme on pourrait le croire. C’est un beau petit chef d’oeuvre. The binding of Isaac (PC) 4€99 sur Steam.
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