Aujourd’hui, c’est la première dame du pays qui s’exprime. Topolansky se déclare « surprise » par les déclarations de l’ancien président et espère que cela ne laissera pas de trace du côté du voisin argentin. Très populaire dans son pays, elle ajoute : « afin de résoudre le conflit avec l’Argentine, il a fallu que le président Mujica ouvre le dialogue. Les propos de Vazquez ne doivent pas remettre en cause notre bonne relation avec l’Argentine et j’espère que les signaux donnés par le gouvernement actuel sont infiniment plus positifs. Ce qu’a dit Vazquez est absurde. Ce ne sont que des propos anecdotiques. »
Après les propos controversés de l’ancien président uruguayen Tabaré Vázquez, la première dame du pays, Lucía Topolansky, a tenu à rassurer les observateurs.
Mardi, l’ancien président Vazquez a eu des propos surprenants dans la presse, affirmant qu’il fut proche de déclarer la guerre à l’Argentine lorsqu’il était à la tête du pays. Vazquez précise que sa réflexion fut poussée par le conflit entre les deux pays concernant l’emplacement d’une usine de papeterie au bord de la rivière uruguayenne. Une usine qui provoqua d’énormes tensions entre les deux voisins, au point de rompre les relations bilatérales. Le président argentin de l’époque, Nestor Kirchner, avait déclaré que ce conflit « était devenu une cause nationale », ce qui poussa Vazquez à réflechir à une intervention militaire.
Aujourd’hui, c’est la première dame du pays qui s’exprime. Topolansky se déclare « surprise » par les déclarations de l’ancien président et espère que cela ne laissera pas de trace du côté du voisin argentin. Très populaire dans son pays, elle ajoute : « afin de résoudre le conflit avec l’Argentine, il a fallu que le président Mujica ouvre le dialogue. Les propos de Vazquez ne doivent pas remettre en cause notre bonne relation avec l’Argentine et j’espère que les signaux donnés par le gouvernement actuel sont infiniment plus positifs. Ce qu’a dit Vazquez est absurde. Ce ne sont que des propos anecdotiques. »
Aujourd’hui, c’est la première dame du pays qui s’exprime. Topolansky se déclare « surprise » par les déclarations de l’ancien président et espère que cela ne laissera pas de trace du côté du voisin argentin. Très populaire dans son pays, elle ajoute : « afin de résoudre le conflit avec l’Argentine, il a fallu que le président Mujica ouvre le dialogue. Les propos de Vazquez ne doivent pas remettre en cause notre bonne relation avec l’Argentine et j’espère que les signaux donnés par le gouvernement actuel sont infiniment plus positifs. Ce qu’a dit Vazquez est absurde. Ce ne sont que des propos anecdotiques. »