Dans la première partie de cette note il a été proposé un modèle de dépouillement thermodynamique des résultats expérimentaux concernant les 3 saveurs possibles de neutrinos .
Il apparait que l’équation déduite ne permet pas de définir la relation directe entre la fréquence de l’onde courant sur la Corde , l’énergie portée par cette onde, sa vitesse V de propagation et le temps local , si l’ on ne peut présenter un modèle géométrique et topologique adéquat de la Corde et le nombre(1,2,3 ou n) et la valeur de ses dimensions ……
LES LOIS QUANTIQUES CONNUES SONT ELLES VALABLES POUR L’ECHELLE DES MODELES DE CORDES ?
On doit rappeler préliminairement que pour les radiations électromagnétiques la relation de PLANCK concernant les énergies portées par les ondes s’exprime par ΔE =hѵ , h étant la constante de PLANCK et ѵ la fréquence de l’onde électromagnétiques et que si l’on suppose par conséquent que la loi s’applique aux ondes et aux fréquences d’une CORDE il faudrait rechercher dans quelle gamme de longueur d’ondes la valeur des transitions neutrino tauique>neutrino muonique et neutrino muonique> neutrino électronique pourraient se situer .
D’ APRES LES GRAPHIQUES DE LA NOTE N°1 et le tableau ci-après on s’aperçoit que les longueurs d’onde se situeraient dans la gamme de l’infrarouge lointain et de l’hertzien et donc déjà dans des dimensions visibles pour la Corde des neutrinos tauiques !
On en déduit immédiatement que la relation liant fréquence et énergies ou masses des ondes électromagnétiques est invalide pour l’évaluation des dimensions des Cordes… Une recherche bibliographique a été faite sur les possibles représentations d’autres particules d’interaction ( tels que les gluons) en terme d’ondes et sur les résultats situant leur possible longueur d’onde….mais il apparait que rien de quantitatif dans ce domaine n a été envisagé (SAUF en Théorie des cordes et des branes) déjà sur le seul plan théorique et donc nécessairement il n y a rien sur le plan pratique…….
Inversement si l’on admettait qu’une onde bouclée sur elle –même (comme celle d’une Corde de fermion ) pouvait excéder la vitesse de la lumière on pourrait éventuellement calculer á quelles dimensions correspondraient les 3 masses des neutrinos connues ……si l’on connaissait les caractéristiques géométriques et topologiques de la Corde correspondante ..
A LA RECHERCHE D’UNE GEOMETRIE ET D’UN ESPACE TEMPS CONVENABLE POUR UNE CORDE DE LEPTON NEUTRE
Comme il l’a été montré dans quelques schémas et calculs sommaires du premier article (Le pouvoir de l’imaginaire n°90) il n’est pas possible de proposer pour les 3 saveurs de neutrinos les modèles de cordes suivants : circulaire plan (2D) ; circulaire 3D ; torique ; cylindrique ….ils ne sont pas compatibles avec l’équation de type exponentiel tirée des données expérimentales.
Toutefois sur le plan des propriétés géométriques et topologiques seules il ne serait pas injustifié qu’il y ait continuité de propriétés (à la dimension de Planck 1.616 × 10-35 m) entre l’espace quantique et l’espace sub-quantique ….On peut donc augurer pour ce dernier qu’ il reste dans un modèle d’espace de HILBERT ( qui représente la généralisation a toutes dimensions n d un espace euclidien 3D).
En outre ,en tant que tout système physique une onde de Corde doit présenter une limite inferieure non nulle et égale a la valeur de l’énergie du mode fondamental de vibration (sa fréquence qui est la mesure du nombre de fois ou un phénomène périodique se reproduit par unité de temps est alors de1).
Et enfin dans le cadre de ces hypothèses la Corde des 3 neutrinos doit être symétrique de manière à ce que la particule reste de MAJORANA ,ET CECI DONC DANS UNE ECHELLE SUB_QUANTIQUE PROBABLE.
Le modèle proposé de Corde sera donc la sphère 3D et une représentation schématique simple d’un mode périodique fondamental (ѵ=1)de propagation d’onde en fonction du temps est proposé sur le DESSIN ci-après : á t=0 ,l’onde part d’un nœud ponctuel ( non nul ) au centre de la sphère et se propage comme un ballon sphérique se gonflant jusqu‘à un diamètre maximal (le ventre), puis revient en se dégonflant à son point de départ quand t=T, la période de l’onde .etc.
Un deuxième mode de représentation élémentaire permet de montrer une oscillation partant d’un neutrino tauique pour le transformer en muonique puis éventuellement en électronique . Si ce mode est possible , il est dû à la très faible valeur de l’énergie de configuration de la corde, VISIBLE sur le graphique de E(C=0).
Compte tenu de ce résultat trois conséquences découlent :
1/la faible valeur de cette énergie rend possible une sorte d’effet tunnel sub-quantique, de caractéristique aléatoire -l’effet étant probablement maximal pour le neutrino tauique et sa duree de vie la plus courte ;
2/l’énergie d’onde de la Corde est transformée en énergie cinétique linéaire…. tout comme si prenant une épingle on perçait a minima un ballon de caoutchouc , se servant de la propulsion arrière des gaz éjectés ;
3/le bilan d’une interaction faible d’un neutrino avec un fermion tiers doit donc faire ressortir la valeur de cette énergie de configuration E(C=0) , et il serait possible de le faire , dans le phénomène dit de double désintégration beta voir diagramme de FEYMANN ci-dessous
A suivre