Parenthood // Saison 3. Episode 5. Nora.
Ce qu'il y a de bon chaque semaine avec Parenthood, c'est que l'intensité des épisodes ne désempli jamais. Chaque saison c'est la même chose, plus on avance, plus c'est intense et cet épisode
était encore meilleur que le précédent (qui était tout de même magistral), celui ci était très beau, et je veux que Jason Katims écrive encore et encore. Deux épisodes qu'il enchaîne et qui sont
aussi magiques, proche de l'éclosion d'une série qui au début n'avait pas forcément toute cette dimension émotion. J'adore Parenthood, c'est un fait, et je le dis tellement souvent, je sais
aussi. Il y avait une fois de plus pleins de moments dont seule la série a le secret. Cette recette qui depuis le début de la série m'enchante, et plus particulièrement depuis la seconde saison
où j'ai réellement appris à tomber amoureux de la série (pendant la saison une j'étais encore attaché aux Walker il faut dire…). Je suis toujours aussi touché par cette série que ça en devient
presque chronique. Non mais à chaque épisode je suis obligé de passer des mouchoirs. Il va falloir que les scénaristes nous allouent à tous les fans de la série un budget pour ça, on ne tiendra
pas la saison sinon. On va être à sec, tout mouillé.
"Nora" est donc un épisode magique, une fois de plus, cette série parvient à sortir le meilleur ce qu'une famille peut faire en télévision. Si je devais retenir quelques éléments de cet épisode,
je dirais dans un premier temps la scène de fin, qui était tout de même super émouvante. En effet, la nouvelle amie de Julia décide de lui laisser adopter son enfant ce qui donne vraiment lieu à
une intense scène de toute beauté. Erika Christensen que j'ai tendance à trouver froide était magistrale dans cet épisode, toute chaleureuse, jusqu'à faire un déca avec du lait et du sucre pour
la charmante demoiselle. C'est mignon tout plein aussi pour leur fille qui va toucher le ventre. Bref, du très bon dans cette partie. Mais ce n'est pas tout car l'épisode était aussi intense
ailleurs. En effet, Kristina est enceinte jusqu'au cou et va donc donner naissance à Nora, la nouvelle fille du clan Braverman (et qui béni cet épisode de toute cette merveilleuse ambiance de
vie). Car la vie dans une série c'est ce qu'il y a de plus important et ici, c'était si beau. Entre Crosby qui se retrouve au milieu de tout ça, toute la famille autour de Kristina à la fin de
l'épisode ou encore Adam. Bref, une réussite dans tous les coins. Majestueux une fois de plus.
Au final, ce nouvel épisode de Parenthoood était une fois de plus magistral. Je crois que c'est une série magique, elle me touche tellement que je ne sais plus où donner de la tête. J'exagère peut être pour certain mais j'aimerais que ces gens connaissent comme nous, fans de Parenthood, l'amour pour une série comme celle ci. C'est indescriptible et c'est ce genre de sentiments magiques que j'ai envie de ressentir jusqu'à la fin de la série qui j'espère saura s'arrêter au bon moment et j'espère que bon moment ne sera pas là avant des années durant car Parenthood c'est la magie incarnée, la fièvre au coeur, la bonté d'une âme et même la vie qui crie (symbolisme du bébé). Voilà qui est donc terminé avec Nora, un des meilleurs épisodes de Parenthood, intense que je les aiment. Parfois même la série a su être intense sans être si émouvante (comme l'épisode de Thanksgiving l'an dernier), mais là… c'est puissance…
Note : 10/10. En bref, un épisode qui aura une le don d'encore une fois m'émouvoir. Parenthood