genre: horreur, slasher (interdit aux - 12 ans)
année: 2010
durée: 1h30
l'histoire: Norvège, 1976. L'hôtel Stohe Mountain est à l'abandon depuis la mort des propriétaires. Ces derniers ont été emportés par une avalanche en cherchant leur fils qui était tombé dans une crevasse. Dix ans plus tard, un policier décide de revenir sur les lieux.
La critique d'Alice In Oliver:
Depuis quelques années, les fans de slasher tiennent enfin la nouvelle référence: Cold Prey. Pourtant, curieusement, le premier reste un film d'horreur assez confidentiel malgré de bonnes critiques de la part de la presse spécialisée. En même temps, le premier opus est un film norvégien mais rencontrera surtout le succès dans son pays. De ce fait, une suite est logiquement réalisée peu de temps après et tient les promesses annoncées.
Qu'à cela ne tienne, Cold Prey 3 sort dans la foulée, et donc, un an après son prédécesseur. En vérité, Cold Prey 3 est un préquel et remonte donc aux origines du tueur. D'ailleurs, l'introduction du film nous présente le criminel quand il était encore un petit garçon. A ce sujet, on peut évoquer quelques similitudes avec Halloween, la nuit des masques, le croquemitaine de service ayant beaucoup de similitudes avec Michael Myers.
Mais très vite, Cold Prey 3 prend ses distances avec les deux premiers chapitres pour lorgner du côté de Massacre à la tronçonneuse.
Encore une fois, ce troisième opus est assez malin avec de nombreuses révélations sur le criminel venu du froid, tout en laissant en suspend quelques interrogations. Cold Prey 3 effectue aussi des clins d'oeil aux deux précédents volets.
Après, reconnaissons-le, le scénario reste sans surprise mais délivre largement la marchandise en matière d'angoisse, de suspense, d'horreur et de tension. En résumé, Cold Prey 3 est à la hauteur de ses modèles et devrait donc ravir les fans de la saga. Maintenant, il serait temps que la franchise s'arrête sur ce troisième épisode.
Note: 14/20
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble